Hégémonie, athénienne, spartiate, Guerre, Péloponnèse
La fin de la guerre du Péloponnèse fût marquée par la capitulation d'Athènes. Pour la Grèce, le conflit qu'avait été la guerre du Péloponnèse s'était avéré être des plus dévastateurs. En effet, Sparte se retrouvait avec les deux tiers de son armée en moins, l'Attique était en ruine, l'afflux d'or perse avait abouti à une forte inflation de la monnaie grecque.
[...] Thèbes délivré de la domination Spartiate. Lors d'une campagne à l'encontre d'Olynthe en Chalcidique, le général spartiate Phoibidas dévie son armée pour se venger de Thèbes qui s'est opposé à lui fournir un contingent et s'emparer de la cité où il laisse une garnison. Cette attaque contre Thèbes constitue une infraction de la paix d'Antalchidas et une violation de serment considérer comme impie. Mais dès 379/378, les démocrates thébains réussissent à renverser le régime oligarchique et à chasser les spartiates. [...]
[...] Lévy, Edmond ; Sparte Texte imprimé histoire politique et sociale jusqu'à la conquête romaine Edmond Lévy ; Paris : Ed. du Seuil, DL 2003 Ruzé et Jacqueline Christien ; Sparte Texte imprimé géographie, mythes et histoire Françoise ; Paris : A. Colin, impr (impr. en Belgique) Marie-Claire Amouretti, Françoise Ruzé, Jacqueline Christien ; Le Regard des Grecs sur la guerre Texte imprimé mythes et réalités ; Paris : Ellipses Anne Jacquemin ; Guerre et religion dans le monde grec (490- 322 av. [...]
[...] En effet même si Sparte était devenu la nouvelle puissance de la mer Égée, elle ne garda pas ce titre longtemps. Et ce, principalement parce que à la natalité était trop faible et la mortalité de la cité trop élevée. Même si tout à était mis en œuvre pour garder la souveraineté des Lacédémoniens dans l'empire grec. Nous verrons en quoi celui-ci se mis à se dissoudre peu à peu En vue du contexte que nous avons présenté, nous verrons les éléments menant à une division de la ligue du Péloponnèse, et ce, par suite logique à la guerre de Corinthe (394-386) et enfin à la défaite de Sparte lors de la guerre contre Thèbes. [...]
[...] Sur le continent grec, l'hégémonie spartiate entraîne le mécontentement des autres cités grecques encouragé par les Perses qui leur versent de l'argent pour punir Sparte de sa trahison La Ligue du Péloponnèse ne mis pas longtemps à se dissoudre, les Corinthiens et les Thébains étant frustrés. De plus l'or perse, permis aux ennemis de Sparte de rallier à leur cause les cités ayant quitté la Ligue du Péloponnèse. On peut ainsi voir naitre une alliance entre Thèbes, Corinthe, Argos et Athènes, qui défit Sparte à la bataille d'Haliarte, ou Lysandre mourut, en 395 avant Jésus Christ. [...]
[...] Sparte, bien qu'étant à la chute d'Athènes, la nouvelle puissance de la mer Égée, ne conserva pas ce titre longtemps. En effet, le terme d'hégémonie disparaît à partir de 362. En effet pu aucune cité ne peut réclamer ce titre : Les Athéniens n'ont pu ni de flotte, ni d'alliés. Les Spartiates sont très réduits. En fait, la raison de cet échec spartiate fut principalement due à la natalité et la mortalité de la cité, l'une étant trop faible, l'autre étant trop élevée. C'est un d'échec total. [...]
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