Rotonde d’Epidaure, sud de la Grèce, rôle du Talos d’Epidaure, mythe, culte d'Asclépios
Une rotonde est un édifice rond, en colonnade, possédant une coupole.
La rotonde d'Epidaure se situe à Epidaure (ville au sud de la Grèce) est un temple circulaire construit au 6e siècle avant notre ère (donc pendant la période archaïque), puis sur ces fondations elle fut reconstruite probablement par Polyclète le jeune, aux alentours de 360-330 Ave JC vers la fin de la période classique. La rotonde d'Epidaure fait partie d'un ensemble appelé le sanctuaire d'Asclépios, dieu de la santé, avec plusieurs édifices comme un théâtre, des temples, un terme qui vaut à Epidaure une grande renommée pendant plusieurs siècles.
[...] Mais, avec le temps, la nature du sanctuaire se transforma insensiblement : on construisit de grands établissements de bains et Epidaure devint une sorte de ville d'eaux, comme le témoigne la rotonde, transformant un lieu de culte en sorte de centre thermale pour malade , faisant progressé la medecine grecque . Le culte d'Asclépios a perduré jusqu'en 426, lorsque le pape Théodose II en décréta la fermeture, au même titre que tous les autres sanctuaires païens de Grèce. [...]
[...] - Les fondations 5 »(sous-sol) datent de l'archaïsme et ont été réutilisé comme fondations dans la rotonde classique, pour accéder au centre il fallait faire trois fois le tour du sous-sol. Ces fondations de 21,82 m de diamètre sont composées de murs et couloirs circulaires concentriques communiquant entre eux, elle est constituée de six murs circulaires successifs, les trois murs extérieurs en continu, les trois murs intérieurs percés de portes ; l'ensemble constitue un véritable labyrinthe 6 II- Le rôle du Talos d'Epidaure Le rôle du Talos d'Epidaure n'est pas définis, les écrivains grecs et autres sources écrites ne racontent pas ce que l'on y faisait, du coup certaine hypothèses plus ou moins fondé apparaissent : - Comme l'autre nom de cet édifice est "thymèlè" (=autel), on suppose que la tholos était un lieu de sacrifices pour Asclépios, car à Athènes, le Tolos servait à faire des sacrifices, néanmoins, celons Henri Lechat, il n'est pas possible de se basé sur cette idée du simple fait que de architecture porte le même nom ; de plus d'autre Tolos servait à garder une flamme alumé tout le temps - Les couloirs intérieurs étant très étroits (à peine assez large pour passer), il ne devait y avoir que peu de monde qui y circule , ducoup ce n'était pas un lieu aussi fréquenté que le théatre ou le temple d'artemis . [...]
[...] leur diamètre est inférieur à 0,9çm et elle font 6,88m de haut . elles sont resserrées à cause de la poussée de la toiture - 14 colonnes corinthiennes internes, surtout déterminé par une grande richesse d'éléments et un chapiteau décoré de deux rangées de feuilles d'acanthe[1], inspiré des égyptiens. - Ces colonnes délimitent la Cella décoré par des métopes de rosace sculptée. - Dans la tholos, des peintures attribuées à Pausias représentaient Eros (dieu de l'Amour et de la puissance créatrice. [...]
[...] La rotonde d'Epidaure se situe à Epidaure (ville au sud de la Grèce) est un temple circulaire construit au 6e siècle avant notre ère (donc pendant la période archaïque), puis sur ces fondations elle fut reconstruite probablement par Polyclète le jeune, aux alentours de 360-330 Ave JC vers la fin de la période classique. La rotonde d'Epidaure fait partie d'un ensemble appelé le sanctuaire d'Asclépios, dieu de la santé, avec plusieurs édifices comme un théâtre, des temples, un terme qui vaut à Epidaure une grande renommée pendant plusieurs siècles. Qu'est-ce que la rotonde d'Epidaure ? Dans un premier temps nous verrons l'architecture de la rotonde, dans un second temps nous verrons sa fonction puis dans un dernier point, l'aspect mythologique. [...]
[...] Par contre au vue du nombre de stèle retrouvé dans tout Epidaure , aucune ne fait mention du Talos d'Epidaure comme source d'eau . III Mythe - De nombreux mythe sur les sous-sol nous sont parvenus , comme des serpents jaune sacrée qui auraient appartenue à Asclépios ( maintenant symbole de la médecine ) aurait trouvé refuge ici , une autre dit que le labyrinthe était probablement une taupinière pour honorer un dieu taupe (le nom même d'Asclépios est dérivé de celui de la taupe), de plus on considéré que la taupe comme un rat aveugle qui avait des pouvoirs bénéfiques. [...]
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