Empire romain, République, prospérité du Haut Empire, menaces extérieures, Auguste
L'empire a été fondé par Auguste en 27 av JC, au cours de son règne (jusqu'en 14 ap JC) il met en place un régime ce que les historiens qualifient de principat. Pour lui il remet en place la République, mais en réalité, le prince concentre l'ensemble des pouvoirs républicains entre ces mains. Il n'a pas de titre, il est donc difficile de définir la nature du régime. Les historiens modernes ont repris un mot qu'Auguste appréciait : le princeps (le premier). C'est en quelque sorte une monarchie déguisée.
[...] Une division de l'Eglise à lieu. Cela fourni à l'Eglise des bataillons de martyre d'une part, qui voit leur culte se développer et permet d'autre part de fournir un point d'ancrage à la religion chrétienne. Les martyres qui ne sont pas morts bénéficient d'un statut privilégié dans l'Eglise c'est les confesseurs. Cela se double du renforcement du pouvoir impériale. La crise du IIIe siècle concentre en elle toute les difficultés de l'empire. [...]
[...] Les pouvoirs de la République si on reprend Montesquieu : - Il a l'imperium, quand il arrive au pouvoir il est consul, puis il a le titre de pro consul qui lui donne un pouvoir étendu sur l'ensemble de l'empire, et il est actif dans la ville de Rome, il a donc un pouvoir militaire dans l'ensemble du territoire romain. Il va ainsi monopoliser le pouvoir traditionnel des magistrats. - Auguste a une autorictas supérieur à tous et même au sénat. C'est un pouvoir qui n'est pas de type coercitif mais basé sur la persuasion. Les choix de l'empereur s'imposent à tous. [...]
[...] En effet les persécutions sont mener sur le motif que le refus du sacrifice est équivalent au sacrilège de la personne impériale. Ces persécutions ont une répercussion sur les chrétiens. En effet ils se divisent à l'issue des premières persécutions. Beaucoup de chrétiens ont eu peur et ont préférer sauver leur vie plutôt que de devenir martyre. Ceux qui ont fauté, vont être appelés : Lapsi. Tout le problème va être de savoir ce qu'on va faire d'eux. Le problème de la réintégration, divise les autorités religieuses chrétiennes. [...]
[...] On a un système de défense aux frontières qui s'étend sur des milliers de kilomètre, que les historiens on ramener à une frontière linéaire : le limes. Cela a permis à l'intérieur d'avoir la pax Romana (la paix). Elle a une double conséquence. La première c'est que les romains on méconnu les évolutions de leur voisins et notamment celle de la Germanie. Or elle va être bousculée par de nouvelles vagues migratoires venues de l'extrême orient. Des populations d'Asie centrale et orientale, les Huns ont entamé un vaste mouvement d'émigration qui bouleverse les peuples sur leurs chemins. [...]
[...] L'empereur doit aussi composer avec une administration impériale, à la tête de laquelle on à l'ordre équestre, les chevaliers. Ce régime fondé par Auguste lui survit. Il réussit à transmettre son pouvoir sous une forme dynastique mais qui n'est pas héréditaire, c'est par le biais de l'adoption, et malgré des crises on a une très grande stabilité politique. Quatre dynasties se succèdent : - celle des judo claudien (14-68) puis celle des flaviens (69-96) puis les antonins (96-192) puis les Sévères (193-235). [...]
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