Diasporas grecques, Détroit de Gibraltar, indu, VIIIe siècle av. J-C, IIIe siècle av. J-C
Les diasporas : dia (à travers) spora( ensemencement) dispersion de la population. Initialement, dispersion des juifs hors de Judée. Cela était connoté jusqu'à récemment comme « un exil subi », un traumatisme.
Aujourd'hui + qu'une dispersion c'est aussi le fait d'entretenir les mêmes traditions+ communauté. Cela peut aussi concerner des groupes socialement homogènes (communauté de scientifiques).
Pour les Grecs, ce n'était pas un traumatisme et ce n'était pas non plus une communauté minoritaire visant une métropole en particulier.
[...] Il faut que les concours soient décrétés par la cité et que les autres cités l'acceptent. Cela nécessite des ambassades. Les théores sont des ambassadeurs sacrés et les théorodoques sont les peuples qui les accueillent. Les concours sont trop nombreux pour obtenir le même prestige que les 4 grands concours. II/ Les grecques et les barbares Qu'est-ce qu'un barbare Le barbare est celui qui n'est pas grec, qui ne parle pas comme eux. Pas de nudité athlétique dans leur coutume. [...]
[...] -Gravisca au nord de Rome en Etrurie(Installation (religieuse) faite avec l'accord des voisins étrusques de Tarquinia (se voyant notamment à l'absence de destruction visible).Culte lié à Aphrodite (Phocée) et à Era (Samos). Les historiens pensent que les Samiens sont arrivés en premier et les phocéens seraient arrivés par la suite mais pas de certitude. Le réseau des phocéens se développe du golf de Naples aux cités phocéennes de Massalia, Nikaia, Alalia, Antipolia, etc. Impossible de dire si les grecs de Gravisca étaient installé ou de passage. Le problème de Gravisca est la relation grecques /barbares et l'arrivée de vagues successives de grecques( Expansion coloniale. [...]
[...] En Afrique du Nord( fondation des cités de Thera et Cyrène en Libye actuelle. Fondation en Adriatique des Corinthiens. Apoikiai surtout en archaïque. Les migrations individuelles : -Les commerçants s'installaient dans des emporion (ports de commerce). Le + connu se situait à Gravisca( Port de la cité de Tarquinia (étrusques). Preuve de l'existence de la communauté grecque( Trace de quartier + sanctuaire. Marchands de Stratos et le fameux Sostratos d'Egide y étaient installé. Emporion de Naucratis dédié à Aphrodite (par Sostratos fils de Léodomas( Texte Hérodote sur un samien) - Les mercenaires embauché depuis 7ème siècle par Etats du proche orient méditerranéen (preuve à Abou Simbel par ex avec graffitis de mercenaires grecques) et par empire Néo babylonien en 626 (détruit par 539 par Perses). [...]
[...] semblables mœurs et coutumes Education masculine importante dans familles et collectivités( Education physique ( Nudité athlétique (depuis 6ème siècle) importante (gymnos gymnasion( gymnase). Distinction avec les barbares. Pratique du banquet entre hommes : consommation de vin ritualisé( création de solidarités politiques. Rôle du banquet propre aux grecques. Sanctuaires et sacrifices communs + l'accomplissement du rite que de la croyance( Rites et représentations des rôles des mythes. Sanctuaire( lieu de culte consacré aux divinités. Rites( Sacrifice sanglant (thysia) partagé entre la communauté. Relation étroite entre les grecques. La piété est invoquée envers les dieux communs. [...]
[...] Les diasporas grecques du Détroit de Gibraltar à l'Indus (VIII è siècle av. fin du III è siècle av. J-C). Définitions: Les diasporas : dia (à travers) spora( ensemencement) ( dispersion de la population. Initialement, dispersion des juifs hors de Judée. Cela était connoté jusqu'à récemment comme un exil subi un traumatisme. Aujourd'hui + qu'une dispersion c'est aussi le fait d'entretenir les mêmes traditions(+ communauté. Cela peut aussi concerner des groupes socialement homogènes (communauté de scientifiques). Pour les Grecs, ce n'était pas un traumatisme et ce n'était pas non plus une communauté minoritaire visant une métropole en particulier. [...]
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