Clausule, onction du roi Pépin, sacre de la dynastie carolingienne, légitimité du pouvoir royal, Pépin le Bref
L'extrait étudié de La Clausula de unctione Pippini regis est rédigé par un clerc anonyme, qui dans son œuvre générale retransmet la parole du Pape Étienne II ; ici il y décrit la cérémonie de 754, c'est-à-dire l'onction de Pépin Le Bref. Le roi mérovingien Thierry IV étant mort, Charles Martel, père de Pépin le Bref, ne cherche pas un successeur assurant lui-même la régence du pouvoir. Quand il meurt en 741, ses deux fils Carloman et Pépin le Bref héritent ensemble de la charge de maire du palais et se partagent les territoires francs. Même si la dynastie Pépinides était forte sous Charles Martel, il n'osera pas monter sur le trône ; alors que Pépin le Bref fait un tour de force avec son Onction.
[...] A travers ce bref récit , le clerc relayant l'onction du rois Pépin relate la mise en place de la ligné Carolingienne par l'église et donc du double pouvoir qu'hérite Pépin le bref de cette alliance , mais il légitime aussi aux yeux des possibles résistant de Pépin le Bref ainsi qu'aux générations futur la dynastie pippinide comme la seul possible ainsi que la seul vicaire du rois . Pépin le Bref à sus jouer d'un tour de force sans violence notoire pour éradiquer la dynastie Mérovingienne et mettre en place une dynastie qui durera plus de 200 ans. [...]
[...] l.4 : au nom de Dieu) permet à Pépin le Bref de s'asseoir sur le trône et de ne craindre représailles sous menace de régicide de l'autorité divine . Après être monté sur le trône et crée sa dynastie, Pépin le bref a besoin de se légitimer pour éviter les conflits internes, c'est pourquoi à travers plusieurs passage dans le texte il appuie son autorité à toute les couches de la population de son royaume. Tout d'abord , Pépin le Bref est nommé rois des Francs et patrice des romains , par cette courte appellation , il se légitimiste sur le peuple Franc , mais le terme patrice des romains et plus implicite , car il lui permet de prendre autorité à la fois sur l'ancien royaume romain de Desyagrius mais aussi aux yeux de l'empire romain d'orient , des royaumes possédant un foedus et de ces allié ; en effet car patrice des romains est un titre créée au IVe siècle pour récompenser le meilleur serviteur de l'empire et donné le plus d'autorité par apport au haut personnages . [...]
[...] En quoi la Clausule met-elle un terme à la dynastie Merovingienne ? Dans un premier temps, nous verrons le sacre de la dynastie carolingienne puis dans un second temps la légitimité du pouvoir royal La dynastie carolingienne a été instauré par Pépin le Bref, dans ce document , plusieurs éléments instaure la dynastie pippinide ; Pépin est désigné comme rois des francs ligne hors son père Charles Martel est appelé prince ligne en référence à son titre de princes du palais mais n'est pas appelé rois car même si Charles Martel est un grand homme et que dans le document il est désigné élogieusement , on veut faire comprendre à travers la ligne 2 et 3 que c'est Pépin le bref l'instaurateur de la dynastie Carolingienne . [...]
[...] A la fin du texte , ligne 21 à le clerc écrit que c'est à notre intention qu'il écrit ce bref récit pour que dans la suite du temps on puisse le faire connaitre à notre lignée, cela donc laisse entendre que Pépin n'est pas un simple rois ou intendant et que la dynastie Mérovingienne est bien finis . Enfin lorsque il est mention du sacre de Pépin le Bref , il est aussi rapporté que ces fils et sa femme Bertrade ( Berthe de Laons ou aux grands pieds ) furent bénis comme lui ce est nouveau dans l'accession au pouvoir , et comme les évêques et plus largement l'église est en pleine expansion , le fait de mettre le pouvoir royale comme relais entre le royaume et dieu ( cf. [...]
[...] Clausule sur l'onction du roi Pépin L'extrait étudié de La Clausula de unctione Pippini regis est rédigé par un clerc anonyme, qui dans son œuvre générale retransmet la parole du Pape Étienne II ; ici il y décrit la cérémonie de 754, c'est-à-dire l'onction de Pépin Le Bref. Le roi mérovingien Thierry IV étant mort, Charles Martel, père de Pépin le Bref, ne cherche pas un successeur assurant lui-même la régence du pouvoir. Quand il meurt en 741, ses deux fils Carloman et Pépin le Bref héritent ensemble de la charge de maire du palais et se partagent les territoires francs. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture