La légende, soit ce que les Romains disaient eux-mêmes de leurs propres origines, dit que Rome a été fondée par deux frères, Romulus et Regulus. Deux enfants trouvés, élevés par une louve / une prostituée, mais deux enfants de sang royal, qui fondent une ville nouvelle sur les collines. Romulus tuera Regulus, Rome est fondée dans le sang. Ce sont ensuite sept Rois qui développent la cité, dont le premier est Romulus, suivi par trois Rois locaux, puis trois Rois étrangers, des Étrusques.
Rome était donc une ville occupée par des Étrusques, elle n'était pas libre. Les Rois étrusques sont des Rois tyranniques, oppresseurs. Ils seront chassés par une révolution en 509/510 avant notre ère, soulevée par les Romains, et qui fonde un régime nouveau : la République - appelée ainsi par facilité.
[...] Le cadre historique de l'Italie primitive en droit public I. Origines historiques et premiers temps de Rome A. Origines de Rome La légende, soit ce que les Romains disaient eux-mêmes de leurs propres origines, dit que Rome a été fondée par deux frères, Romulus et Regulus. Deux enfants trouvés, élevés par une louve / une prostituée, mais deux enfants de sang royal, qui fondent une ville nouvelle sur les collines. Romulus tuera Regulus, Rome est fondée dans le sang. Ce sont ensuite sept Rois qui développent la cité, dont le premier est Romulus, suivi par trois Rois locaux, puis trois Rois étrangers, des Étrusques. [...]
[...] Ce formalisme caractérise toutes les religions primitives, mais aussi les systèmes primitifs de droit. Les Romains croyaient aux signes, aux présages envoyés par les ancêtres. Une institution de consultation des présages avait même été mise en place : les augures, prêtres spécialisés dans les présages, observaient par exemple la manière dont les poulets sacrés picoraient le grain ; et les aruspices, qui lisaient dans les entrailles des animaux. Toute cette religion évoluera à l'époque suivante, au contact de la religion grecque et des religions orientales, plus mystérieuses. [...]
[...] Ce peuple occupe la Gaule et le nord de l'Italie, la Lombardie. Ils faisaient souvent des descentes vers le sud, dont l'une descendra jusqu'à Rome en 390 avant J-C. Les Gaulois s'emparent alors de Rome, sous la direction de Brenus, sauf de la citadelle, le Capitole où résidait le temple de Jupiter (cf. Légende des oies sauvages). Commence ensuite une phase d'extension territoriale, d'abord très lente et prudente, prélude à l'expansion importante qui suivra. Les Romains sont maîtres de toute l'Italie aux alentours de l'an 300 av. [...]
[...] Les débuts de la République L'histoire de cette période reste encore assez incertaine. Du point de vue intérieur, Rome continue à se développer et à se peupler, en attirant les populations latines et des montagnes. En se développant, la population renforce les institutions, marquées par l'aristocratie foncière. Ce sont les chefs de ces grandes familles aristocratiques qui dominent, on parle des patriciens opposés à la plèbe -le peuple-. A cette époque commence à se former une première idée assez précise du droit : les Romains érigent leur premier monument juridique au siècle et la Loi des XII Tables. [...]
[...] La ville entretient alors des relations avec le reste de l'Italie occupée par les Étrusques. Mais la particularité est constituée par l'unique pont qui traverse le Tibet, fleuve qui sépare le Nord et le Sud, situé dans Rome. Après l'époque étrusque, une période de stagnation économique s'ensuit. On observe un essor démographique après le départ des Étrusques, en faisant venir des populations extérieures notamment (cf. Légende des Sabines). La construction des premières routes est lancée, au siècle av. J.-C., les fameuses voies romaines. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture