Siège de Constantinople en 626, Nicéphore, Avars, intervention divine, Rome, empereur Héraclius, Constantinople, Perses
Constantinople a été excellemment placée pour agir en tant que centre de commande d'un empire, à la fois par son statut de capitale détentrice de légitimité impériale et par son caractère de place forte inexpugnable noyau de la résistance byzantine, qui tient tête à de longs sièges.
En effet, la tourmente n'épargne pas l'Empire qui est affecté par une série de catastrophes et de guerres sur tous les fronts (Slaves, Bulgares, Perses et Avars). Rappelons-le, avec Chosroès II, les hostilités ont repris, car celui-ci cherche à profiter du désordre créé dans l'Empire byzantin par les Slaves, les monophysites et le renversement de Maurice par Phocas. Même si, de nombreuses victoires ont été remportées par Maurice contre les Perses, l'Empire est déstabilisé par les invasions et par la crise interne consécutive à l'avènement au pouvoir de Phocas (602-610). Ainsi, en 608 pour parfaire l'unité de l'Empire et de son peuple Héraclius, fondateur de la dynastie des héraclides, quitte Carthage en direction de Thessalonique. Il arrive à Constantinople en 610 à la tête d'une puissante flotte pour renverser Phocas qui est exécuté.
[...] Le 7 aout malgrès la tempete qui freine les mouvement de la flotte byzantine, bâteaux romains”, s'approchent des pirogues et les poussent les unes contres les autres si bien que la mer se de sang des victimes. Nicéphore , nous raconte que parmis les “cadavres”, il y'a aussi des parce que celle-ci combattaient avec leur maris. Enfin, le 8 aout, les Avars apprennent la victoire de Théodor sur Sahin et la nouvelle alliance d'Héraclius avec le peuple turc des Khazars.Ainsi, le siège dura trentre trois jours le laps de temps qui s'écoula entre l'arrivée de l'avant-garde devant Constantiople et l'arrivée du Khagan avec son armée. [...]
[...] Mais, malgré leur forces Héraclius après d'énormes sacrifices remporte la victoire et par conséquent on assiste à un ébranlement de l'hégémonie Avars au sein de l'empire Byzantin. D'ailleurs, l'échec du siége de Constantinople en 626 marque un tournant en Occident et en Orient, puisque les Slaves se révoltent contre le domination des Avars et poursuivent leur pénétration jusque dans le Péloponnèse en formant un royaume indépendant. La guerre fini, ni les Perses, ni les Byzantins ne se croisérent et il faudra attendre l'année 674- pour assister au siége de Constantinople par les Arabes. [...]
[...] Les Avars échouent et leur Khagan décide de conclure un étrange accord, pour que sa retraite ne soit pas considérée comme une defaite. En effet, il exige une somme d'argent pour s'en aller et mance d'incendier les quartiers se trouvant hors des murs, les habitants consentent à donner finallement une certaine somme. Alors, le Khagan léve le siége et se dirige vers Andrianopolis et là encore, on s'efforce d'attribuer la défaite des Avars au miracle. Car, les Byzantins attribuent, leur victoire à l'intevention divine comme le relate la plupart des chroniqueurs. [...]
[...] Le combat pris fin, par la défaite des Perses et là encore, on essaie d'attribuer la victoire des Byzantins à un miracle. Car d'après, Théophane la neige tombe dans la direction des Perses et les aveugles. En ce qui concerne le siège, on sait peu d'Information à part que le Khagan avec son armée et le matériel arrive un mois pus tard. Que les Avars ont dressés leurs engins et construit des tours en bois plus hautes que les murs, mais une force divine, probabalement le Saint Démétrius repousse leur attaque. [...]
[...] Il tombe dans le piège tendu par ce dernier et des milliers de byzantins sont faits prisonniers des Avars à cette occasion, même si un accords fut conclut en 624. Toutefois ils prirent les armes et se rapprochèrent des murs de la ville (ligne autrement dit les Avars franchissent le Long Mur, pillent les églises, mettent le feu aux alentours En dépit de la mauvaise surprise avare Héraclius , par le traité de 624 leur avait promis un tribut annuel de pièce d'or (ligne mais également de leur envoyer comme otages son fils Jean, qui se nommait aussi Atalarichos , t Etienne son neveu (fils de Marie sa sœur et Eutropios) un autre Jean , fils de Bon Patrice. [...]
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