Rome, Stratonicée de Carie, Antigone le Borgne, orientis graeci inscriptiones selectae, Wilhelm Dittenberger, Attale, Ariobarzane, Mithridate VI Eupator, Cappadoce, Valerius Flaccus, Lucius Cornelius Sylla, Mithridate
Polis, cité en latin, est une communauté humaine et religieuse et un État. Les premiers souverains de l'époque hellénistique comme Antigone le Borgne se sont efforcés de respecter cette indépendance en proclamant qu'ils garantissaient, à toutes les cités, la liberté et l'autonomie. C'est ce dont il est question dans le document orientis graeci inscriptiones selectae. Le philologue et épigraphiste, Wilhelm Dittenberger l'a édité en 1898. C'est un document officiel. C'est par la mort d'Attale III en 133 av. J.-C. que Rome eut l'occasion de s'implante.
[...] Sylla se fait décerner la dictature : c'est une magistrature peu revêtue et la conserve jusqu'en 80 et non 6 mois : « Lucius Cornelius Sylla, Aimé d'Aphrodite, dictatrice, aux magistrats, au conseil et au peuple de Stratonicée, salut, j'ai donné à vos ambassadeurs le sénatus-consulte suivant. » à 9). Elle n'avait pas été revêtue depuis 120 ans pour consolider la république. Il n'est pas traditionnel et met en avant une politique religieuse par l'émission de monnaie avec des slogans politiques. Son but est de restaurer le pouvoir du sénat. Il reçoit les tribunaux jugeant les sénateurs malveillants. Il reçoit le contrôle de la législation en ce que les tribuns de la plèbe ne peuvent désormais proposer une loi aux comices tributes après l'approbation du sénat. [...]
[...] Ainsi, la question de la légalité à moins de sens : elle s'efface devant les armées consulaires. Nous venons de voir comment se montre le soutien d'une cité à Rome et comment Rome est reconnaissante de ces sacrifices. Maintenant, on va voir les limites de cette reconnaissance et la notion de liberté octroyée aux cités. II. Dans quelle mesure les privilèges que bénéficie la cité de l'Orient, révèlent une soumission de celle-ci à l'autorité de Rome ? Mais les gouverneurs et les officiels Romains abusent de leur pouvoir. [...]
[...] Dans quelle mesure les privilèges que bénéficie la cité de l'Orient révèlent une soumission de celle-ci à l'autorité de Rome ? Polis, cité en latin, est une communauté humaine et religieuse et un État. Les premiers souverains de l'époque hellénistique comme Antigone le Borgne se sont efforcés de respecter cette indépendance en proclamant qu'ils garantissaient, à toutes les cités, la liberté et l'autonomie. C'est ce dont il est question dans le document orientis graeci inscriptiones selectae. Le philologue et épigraphiste, Wilhelm Dittenberger l'a édité en 1898. [...]
[...] En premier lieu, les cités qui avaient accueilli Mithridate et massacré des Romains furent privées de la liberté. Toute entité libre n'avait pas disparu pour autant. Rhodes qui avait lutté si courageusement contre Mithridate conservait naturellement une liberté qui ne fut aucunement remise en question. Parfois elles recevaient même l'immunité. De plus Sylla convoqua les Grecs à Éphèse et leur imposa le paiement de talents représentant les arriérés de cinq années de tribut, plus le versement d'une indemnité pour les frais de guerre. [...]
[...] Bibliographie Outils Dictionnaire de l'antiquité L. Martinez-Sève, Atlas du monde hellénistique pouvoirs et territoires après Alexandre le Grand, Paris Ouvrages généraux J-M. David, La République romaine de la deuxième guerre punique à la bataille d'Actium 218-31, Éditions du seuil, Lonray M. Humm, La République romaine et son empire, Armand Colin, C. Vial, Les Grecs de la paix d'Apamée à la bataille d'Actium 188-31 av. J.- C., Éditions du seuil, Lonrai Ouvrages spécialisés G. Brizzi, Sylla, Pluvia Nocturna, Jouve F. Delrieux, F. Kayser, I. Pimouguet-Pédarros, P. [...]
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