Relations, Grecs, Perses, Antiquité, empire perse, guerres médiques
Les guerres médiques ont vu deux victoires grecques : à Marathon en 490 et à Salamine en 480. Ces histoires vont être à la base d'un petit sentiment national. Les relations grecques-perses ne finissent pas avec ces guerres médiques. La source la plus importante est l'historien Hérodote, considéré comme le père de l'histoire.
[...] Ils sont soumis aux réquisitions au titre de la table royale, ils travaillent aussi dans les grands chantiers comme à Persépolis. Lors de la 2e guerre médique, chantier du canal du mont Athos. Tout semble bien se passer entre Grecs d'Asie et Perses. La révolte de l'Ionie : 500-493 : Révolte connue par Hérodote, c'est un grec d'Asie, d'Halicarnasse. Il n'est donc pas objectif. Il est critique envers les cités d'Asie qui n'ont pas réussi à s'entendre. Affaire de Naxos en 500. [...]
[...] Les expéditions perses entre 492 et 490 : La 1ere guerre médique est une attaque d'ampleur. La 1ere cause est celle de la vengeance de l'incendie de Sardes. Autre explication, les Perses seraient soumis à leur divinité principale Ahura-Mazda dont le but était de régner sur tout l'espace habité. Enfin, les Perses doivent se battre car les révoltes ioniennes montraient que les Grecs d'Asie mineure pouvaient bénéficier de soutiens. Expédition de Mardonios, gendre de Darius, qui a pris le commandement des troupes en Asie mineure et en Thrace. [...]
[...] C'est suite à cette bataille que la démocratie serait née. La guerre n'est pas tout à fait finie. Xerxès rentre en Perse. Mardonios passe l'hiver en Thessalie et essaye de gagner la guerre diplomatiquement. Il cherche à s'attirer les grâces des Athéniens. Il leur propose d'entrer dans l'alliance perse. Les Spartiates proposent aux Athéniens de les défendre. U printemps 479, les Athéniens refusent l'alliance perse, Mardonios envahit l'Attique, les Spartiates sont lents à envoyer des renforts. Des contingents arrivent et bataille à Platée. [...]
[...] Les deux parties estiment avoir gagné : les Athéniens estiment qu'ils ont défendu la Grèce ; du côté perse, l'expédition n'est pas un échec car l'Egée est sous domination perse. La victoire de Marathon a été exagérée par les Athéniens, gloire pour les combattants, les Marathonomades. L'entre deux guerres : En 489, les Athéniens ont lancé une expédition contre l'île de Paros, à l'initiative de Miltiade. Cette expédition est un échec, Miltiade est condamné à l'amende. En 488-487, premier ostracisme. Les Athéniens ne se préoccupent pas des Perses. En 483-482, Thémistocle convainc les Athéniens d'affecter l'or des mines à la construction de bateaux. [...]
[...] En sachant cela, peur des Grecs, surtout que la Thessalie et la Béotie se soumettent à Xerxès. L'armée avance sans problème jusqu'aux Thermopyles. En 481, les Grecs s'allient par le traité de Corinthe. Ils jurent une alliance militaire. L'hégémonie est confiée à Sparte. La 2e guerre médique : Problème de l'endroit où il fallait arrêter les perses. Batailles au nord de l'Attique. La bataille des Thermopyles est commandée par Léonidas. Victoire perse écrasante. Il a renvoyé des contingents et maintenu les Perses avec 300 soldats. [...]
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