Histoire des civilisations perdues, civilisation mésoaméricaine maya, peuple Anasasis, Empire Khmer, Empire Axoum, Empire romain, Empire Kusana, dynastie Choson, civilisation olmèque, découverte du Nouveau Monde, réchauffement climatique, théorie de Malthus
Les civilisations anciennes ne nous ont laissé que des indices révélant leur existence probable. Certains de ces vestiges forcent l'admiration, de par leur capacité à résister au temps et aux éléments pour parvenir jusqu'à nous. Cela renforce soit le doute ou la curiosité de la plupart des chercheurs, et même du grand public. Les recherches actuelles récusent l'hypothèse de la majorité des archéologues selon laquelle les civilisations organisées n'auraient existé qu'après la dernière période glaciaire, s'étant terminée 9600 ans avant J-C. Au-delà des révélations de l'archéologie, ou des récits de quelques savants antiques, quelles sont les causes ayant abrégé leur existence réelle dans le passé ?
[...] De ce fait, quelles leçons faut-il tirer de l'histoire de ces civilisations évanouies ? À partir de l'interprétation des facteurs de disparition les plus proéminents, des messages forts se dégagent pour sensibiliser notre monde actuel engagé dans une course effrénée vers le progrès technique. I - La disparition des civilisations : un phénomène général Les recherches révèlent aujourd'hui la disparition de plus d'une trentaine de civilisations anciennes. Encore, ne s'agit-il là que de celles ayant pu laisser des traces visibles. [...]
[...] Finalement, au risque d'être taxé de fataliste, l'on pourrait peut-être conclure que chaque civilisation porte en elle-même les germes de sa propre destruction. Sa survie dépend de sa capacité à les identifier et à les éliminer efficacement. En conclusion, les civilisations qui ont eu plus de longévité sont celles qui ont pu assurer la persistance de leur modèle culturel en sophistiquant ses modes d'acquisition, de conservation et de transmission de la connaissance. C'est ce qui permet à la nôtre d'apprendre des disparitions des précédentes, afin de mieux réagir en cas d'agression extérieure ou de cataclysmes naturels. [...]
[...] Quelles leçons faut-il tirer de l'histoire des civilisations disparues ? Leurs émanations depuis le passé où elles sont censées avoir existé se résument à des récits aux confluents entre les légendes et les mythologies. Les civilisations anciennes ne nous ont laissé que des indices révélant leur existence probable. Certains de ces vestiges forcent l'admiration, de par leur capacité à résister au temps et aux éléments pour parvenir jusqu'à nous. Cela renforce soit le doute ou la curiosité de la plupart des chercheurs, et même du grand public. [...]
[...] Donc, elles étaient à même de gérer un certain nombre de problèmes. Ainsi, ces civilisations n'ont pas disparu du fait d'une seule cause, mais sous l'action conjuguée d'une combinaison de facteurs nocifs. Ces phénomènes étaient d'ordre alimentaire, sanitaire, climatique, politique ou sécuritaire. Les causes du déclin de ces grands empires jadis florissants sont à la fois endogènes et exogènes. Les causes exogènes furent généralement des catastrophes naturelles telles que des séismes, des éruptions volcaniques, des tsunamis, des incendies de masse ou les effets du réchauffement climatique. [...]
[...] l'on peut aussi ajouter des problèmes structurels. Joseph Tainter le démontre dans son ouvrage The collapse of complex societies. En effet, plus la complexité d'une civilisation s'accroit, plus elle autogénère des problèmes tellement compliqués qu'ils mettent en péril sa survie. III - Les leçons à tirer de ces disparitions Malgré la progression extraordinaire de la science et des technologies dont il bénéficie, l'Homme contemporain se pose des questions sur la survie de sa civilisation. En effet, la pérennité de la planète terre est menacée par le réchauffement climatique. [...]
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