- Les Béotiens conduis par Thèbes (EPAMINONDAS, PELOPIDAS) et qui forment le "bataillon sacré", une troupe d'élite.
- Les Arcadiens (centre du Péloponnèse) qui se détachent de Sparte et reconstituent leur propre confédération avec d'autres cités qui les rejoignent comme MANTINEE, TEGEE. Leur groupe d'élite sont les Eparites. Un peu plus tard les Arcadiens fondent une nouvelle cité qui sera leur capitale fédérale : Mégalopolis (...)
[...] Ainsi, les évènements de la guerre des alliés se superposent aux entreprises de Philippe II. IV. Athènes et la Macédoine (359-355). En 360, Philippe II, qui a 22-23 ans, est acclamé roi par l'assemblée de l'armée macédonienne. La capitale est Pela. Il n'apparaît comme ennemi pour personne. La menace est à Sparte, à Thèbes, en Perse . C'est un roi ambitieux qui vit jusqu'à 336. La bataille de Chéronée en 338 marque la soumission de toute la Grèce à Philippe II L'ambition athénienne (Amphipolis) et le traité de paix avec Philippe en 359. [...]
[...] Athènes de 371 à 355 : l 'hégémonie thébaine, la guerre des alliés la montée de la Macédoine. I. invasion de la LACONIE 370- Constitution d'une forte coalition contre Spartes. Les Béotiens conduis par Thèbes (EPAMINONDAS, PELOPIDAS) et qui forment le bataillon sacré une troupe d'élite. Les Arcadiens (centre du Péloponnèse) qui se détachent de Sparte et reconstituent leur propre confédération avec d'autres cités qui les rejoignent comme MANTINEE, TEGEE. Leur groupe d'élite sont les Eparites. Un peu plus tard les arcadiens fondent une nouvelle cité qui sera leur capitale fédérale : Mégalopolis. [...]
[...] Pour Démosthène, Mégalopolis est l'occasion manquée de montrer la force d'Athènes. Pour la liberté des Rhodiens de Démosthène. Rhodes est une ex révoltée de la guerre des alliés La partie oligarchique est menée par Mausole, le puissant satrape de Carie, qui renverse le régime démocratique. Les démocrates rhodiens appellent à l'aide des Athéniens. Démosthène échoue dans son discours, Athènes n'intervient pas et les oligarches restent sur place. Démosthène rompt avec la politique majoritaire d'Eubule et propose à Athènes une politique offensive qu'il représentera pour Philippe. [...]
[...] Philippe II, par la diplomatie, va écarter tout les dangers : il formule un traité de paix et une alliance avec Athènes car il ne peut pas faire autrement. (359). Les closes stipulent : Athènes conserve ses positions dans le golfe THERMAÏQUE. Philippe II retire sa garnison d'Amphipolis ce qui laisse carte blanche à Athènes. Ce traité inégal porte en faveur d'Athènes, et rend temporairement faible Philippe II. Athènes assiège Amphipolis mollement et ne profite pas de la situation car depuis 357 elle est empêtrée dans la guerre des alliés Philippe conquiert des positions dans le nord de l'Egée (357-354). a. [...]
[...] Les Athéniens sont divisés mais Athènes vote l'envoie d'une expédition de secours. Elle a peur d'un déséquilibre des forces en Grèce si Thèbes est trop puissante. En conséquences est envoyé en Laconie Iphicrate avec hommes, mais il agit trop tard et rentre en Attique sans avoir combattu. En 368, il y a une véritable alliance entre Athènes et Spartes. C'est officiel même s'il y a des tensions pour savoir qui commandera et donc qui aura l'hégémonie. II. Les entreprises Thébaines. [...]
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