Cours d'histoire ancienne intitulé "L'empereur à Rome et dans les provinces". Document idéal en tant que fiche de révision ou pour réaliser une composition sur le sujet. Celui-ci se divise en deux grandes parties (voir le plan détaillé ci-dessous). Document de 2500 mots.
[...] Ce qui avait une à deux légions, et qui était donc des provinces stratégiques, était donné à des consulaires, c'est-à- dire d'ancien consul. Le rang du gouverneur de nord et celui qu'on lui avait donné à la création de la province, même lorsque les légions lui étaient retirées. Les provinces équestres. Les gouverneurs équestres portent le nom de préfet de procurateurs. Des préfets équestres était aussi chargés de zone militaire, comme le district alpin, ou d'ancien royaume vassaux de Rome. [...]
[...] Les fêtes ont toute vocation religieuse ; la plus spectaculaire étant celle des jeux séculaires rappelant l'anniversaire de la naissance de Rome et sa suprématie sur le monde qui se manifeste par des types de jeux qui sont donnés : jeux grecs, latin et troyen. Antonin les fêta en 148. L'empereur prenait soin de la plebe en lui offrant des jeux supplémentaires Tra gens en 112, donne au peuple 30 jours consécutif de cirque et 15 jours de théâtre. Le prince dans la ville Le meilleur prince fut Trajan, grâce à ses conquêtes et plus engagées ou achevées les grands chantiers urbains. [...]
[...] Conclusion : l'efficacité de l'administration : quoi que l'amélioration de l'administration provinciale est en générale admise, on a récemment insisté sur des insuffisances. L'administration est déjà généralement corrompue : il fallait payer pour accéder la justice. Les problèmes de l'administration sont donc à la mesure de la structure extrêmement inégalitaire de la société. Le souci envers les petits, l'humanité impériale sans cesse rappelée par la rhétorique de la chancellerie, n'empêchait donc pas les abus de cette machine bureaucratique. La multiplicité des pétitions prouve sans doute l'incapacité à faire cesser ces abus. [...]
[...] Les empereurs possédés de domaine agricole, des mines, des carrières, des salines, les briqueteries. Ses possessions privées relevaient du patrimoine impérial. Ces propriétés étaient acquises par conquêtes, confiscations, héritage. -les tribus : Dans certaines zones de l'empire, les sujets n'étaient pas organisés en cité : ainsi dans les Alpes, dans le nord des gaules, aux frontières de l'Afrique, en Arabie. L'empereur nommé alors des préfets de tribu, au Ier siècle toujours militaire, puis au second siècle notable indigène. b. Le gouvernement des provinces Le gouverneur et son administration Pourvu de l'imperium, ayant reçu mission du Sénat ou de l'empereur, le gouverneur prétorien ou consulaire avait en principe des pouvoirs très étendus, mais il était borné par les coutumes locale, la liberté de certaines cités ou les zones d'action des procurateurs équestres. [...]
[...] Ces grandes tâches étaient confiées soit à des sénateurs, dont la promotion à la préfecture de la ville dépend du prince, soit des chevaliers, dans les préfectures ou les curatelles ôtèrent aux magistrats traditionnels et donc à d'éventuels concurrents, certaines de ses tâches hautement politiques. Ces différentes préfectures marquent une évolution du pouvoir politique : certains grands préfets, de rangs équestres, ont un pouvoir supérieur à des magistrats sénateur. Par exemple le préfet de l'annone a un pouvoir supérieur aux questeurs d'Ostie, responsable des arriver dans le ports de la ville. Le maintien de l'ordre. [...]
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