Le légionnaire doit être citoyen romain et doit faire au moins 1m 65. Les légionnaires doivent suivre un entraînement sportif et collectif. Ils sont volontaires et prêts à obéir à tout sous peine de fouet et de lapidation. Ils sont armés d'un pilum, d'un glaive, d'une cuirasse, d'un casque et d'un bouclier (...)
[...] Les légionnaires doivent suivre un entraînement sportif et collectif. Ils sont volontaires et prêts à obéir à tout sous peine de fouet et de lapidation. Ils sont armés d'un pilum, d'un glaive, d'une cuirasse, d'un casque et d'un bouclier. Les auxiliaires sont des non-citoyens romains, moins payés, moins considérés et ce sont eux qui ont les missions les plus dangereuses. A la fin du II e siècle, leur statut s'améliore et des citoyens peuvent devenir auxiliaires. L'importance de la cavalerie s'accroît au fur et à mesure. [...]
[...] Le plus souvent ils gagnaient les assauts, mais il leur arrivait de perdre contre les barbares. Seul le général en chef pouvait être acclamé Imperator sur le champ de bataille. Il y avait d'abord un cortège qui portait le butin, précédé des magistrats romains et des sénateurs en belles toges. On faisait aussi des maquettes de la ville assiégée. Ensuite, il y avait les boeufs blancs pour le sacrifice, puis les prisonniers qui étaient enchaînés aux brancards. Après, il y avait le triomphateur (le général en chef) sur un char doré, habillé en Jupiter capitolin. [...]
[...] Chaque légionnaire avait son équipement: 40kg portés sur une fourche. Ce système a été introduit par Marius. La marche faisait 30 à 35 km de long. Avant de livrer bataille, le général consultait les auspices. Pour se défendre, il y avait la ruse, l'attaque et la diversion. La cavalerie et les auxiliaires attaquaient en premier. arrivés à 20m de l'ennemi, ils l'attaquaient au glaive et au javelot. Les prisonniers étaient soit tués soit vendus comme esclaves. Les armes et les dépouilles étaient ramassées et consacrées aux dieux car pour un commandant, c'était une grande honte de laisser de morts sur le champ de bataille. [...]
[...] Il y avait 3 sortes de galères: les liburnes, les trirèmes (40m de long, 5m de large) et les quinquérèmes. Les trirèmes avaient 170 rames disposées en 3 rangs et transportaient 120 légionnaires. Les quinquérèmes avaient 160 rames et 270 rameurs pour transporter 250 légionnaires. Les liburnes étaient beaucoup plus légères et avaient seulement 84 rames. On installait le camp après une longue journée de marche, ou lorsqu'une bataille était imminente. Le site pouvait être choisi par le général mais le plus souvent, c'était un officier qui le faisait, en fonction de l'approvisionnement du site en eau. [...]
[...] Les recrutés citoyens romains devaient être tous originaires du sud de la péninsule de Pô. L'Italie était alors divisée en districts de recrutement appelés conquisitors. Pour les nouveaux, on faisait une cérémonie religieuse. Les légionnaires n'étaient payés que 5 as, puis César doubla la paye: 10 as. Le pillage était une des raisons de l'engagement des légionnaires. C'est l'entraînement qui formait les légionnaires. Il y avait des commandements en avant (signa in ferre). Le nouveau venu devait marcher 5h et parcourir 30km. [...]
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