Exposé de littérature sur les thermes romains : leur histoire, l'architecture, les grands termes romains etc. Ce document est illustré par de nombreuses photos et est idéal pour avoir une approche globale et claire de ce thème. Document de 23 pages.
[...] Il faudrait retenir des thermes que les romains avaient donc tous prévu pour satisfaire de façon accessoire et illusoire le peuple qui avait besoin d'oublier les décisions du sénat et des empereurs. En final, je terminais sur une certitude qui à pour centre le confort disponible à l'époque romaine qui était quasiment comparable au confort actuel quand on observe ces constructions titanesque. Et une interrogation réside au fond de moi en ce qui concerne la qualité des construction actuel face à celle de l'époque, ne somme nous pas ridicule quand nous privilégions le coût à la qualité, l'image que laisserons nos constructions sera-t-elle aussi belle ? [...]
[...] Tout ça pour dire que ces thermes par leur taille on du être découpée et partagée pour traverser les siècles Les thermes de Trajan Construits en 104 après JC, ces thermes furent édifiés sur une partie de l'emplacement de la Domus Aurea de Néron et réalisés par l'architecte Apollodore de Damas. Ces thermes furent le premier exemple complet de thermes de grande dimension(10 hectares). La grande nouveauté de ces thermes est leur orientation Ne-Sw. Ces thermes sont rentrés dans l'histoire par cette orientation, cette enceinte, et la position des bains au centre avec les jardins autour. [...]
[...] Il existait aussi des nécessaires de poche avec des pinces, cure-oreilles, nettoie ongle, peigne Les grands thermes romains 1. Les thermes de Caracalla Le complexe thermal de Caracalla est le plus grandiose et le mieux conservé de l'époque impériale. La construction de ces thermes hors catégorie dura quatre longues années de 212 à 216 date à laquelle il fut inauguré par l'empereur qui donna à ces thermes son nom. Ces thermes pouvaient accueillir simultanément 1600 personnes furent totalement gratuites dès leur ouverture. [...]
[...] Après ces différentes tâches commençait la réalisation qui promettait d'être encore plus complexe que de trouver une source. Les ingénieurs devaient se battre avec le relief et faire des calculs d'une précision exemplaire pour assurer une pente constante qui assurerait un écoulement régulier de l'eau. Pour illustrer leur prouesse prenons par exemple le pont du Gard (sur l'aqueduc alimentant la ville de Nîmes en Provence) célèbre pour ses 3 étages et son état de conservation exceptionnel, il est situé à 50 Km de sa source et doit franchir les gorges du Gardon en atteignant la hauteur de 49 m avec d'arcades de 24.5 m et une conduite longue de 275 m et large de 1.20 m et haute 1.85 m le plus impressionnant dans ces chiffres est sans conteste la dénivellation entre la source et l'arrivé en ville : 17 m ; c'est à dire 0.342 m par Km. [...]
[...] On peut voir que le flacon d'huile, les trois strigiles ainsi que la paterae ( récipient verseur) sont fixés à une poigné par laquelle e le baigneur tenait ce kit qu'il utilisera tout au long de son voyage à travers les thermes. Pour se nettoyer les romains ne possédait pas de savons, ils s'enduisaient donc le corps à l'aide du flacon d'huile et la raclait avec la crasse et la sueur au moyen du strigile. La paterae servait quant à elle à se verser de l'eau froide sur le corps pour resserrer les pores dilatés par la chaleur des bains. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture