Notre connaissance sur l'Egypte des pharaons est des fois très obscure. Une centaine de rois depuis Narmer s'y sont succédés, entraînant des fois l'extinction de la civilisation entière pour que quelques siècles plus tard, elle refasse apparition. Ces périodes statiques sont souvent déterminées par les historiens comme « périodes intermédiaires », et on compte après le moyen empire deux dynasties où se seront succédées trente rois. Cependant la connaissance de l'Egypte ancienne renseigne fortement l'Homme sur ses origines car elle serait sans aucun doute la première civilisation ayant entraîné l'Homme hors des âges préhistoriques pour le faire accéder aux prémices des « âges civilisés ». L'Egypte ancienne ce sont tout d'abord des rois héritant par droits divins leur puissance. Ils apparaissent devant leurs sujets comme l'incarnation terrestre du dieu bon (...)
[...] L'Egypte ancienne commencera alors véritablement lors de la quatrième dynastie dont Snéfrou sera le fondateur. Il fait construire pour son compte la toute première pyramide parfaite à Meidoum. De là partiront les plus beaux monuments de toute l'Egypte ancienne. Le Sphinx, les pyramides de Gizeh, auront été construites lors de cette dynastie qui aura été jugée de tyrannique par les plus pauvres et les plus démunis. Les grandes pyramides de Gizeh, si visitées de nos jours, auront été édifiées par Khéops, Khephren et Mykérimos. [...]
[...] L'Egypte ancienne, heures de Gloire et Décadence. Notre connaissance sur l'Egypte des pharaons est des fois très obscure. Une centaine de rois depuis Narmer s'y sont succédés, entraînant des fois l'extinction de la civilisation entière pour que quelques siècles plus tard, elle refasse apparition. Ces périodes statiques sont souvent déterminées par les historiens comme périodes intermédiaires et on compte après le moyen empire deux dynasties où se seront succédées trente rois. Cependant la connaissance de l'Egypte ancienne renseigne fortement l'Homme sur ses origines car elle serait sans aucun doute la première civilisation ayant entraîné l'Homme hors des âges préhistoriques pour le faire accéder aux prémices des âges civilisés L'Egypte ancienne se sont tout d'abord des rois héritant par droits divins leur puissance. [...]
[...] Cependant son règne fût marqué par beaucoup de crimes dans sa vie. Arsinoé sa femme fût assassinée par lui ainsi que son frère Magas, sa mère Bérénice et son hôte Cléomène. Son fils Epiphane lui succéda donc à l'âge de cinq ans et vu le jeune âge d'épiphane, Antiochus voulu reprendre les hostilités avec l'Egypte. Ce roi arrivera quand même à faire rentrer sous sa domination les villes de Cilicie, de Lycie, de Syrie et de Palestine. Philométor succéda à son fils lui aussi à l'âge de cinq ans et vu l'appui que donnait Rome à Antiochus, ce dernier surprit le pharaon dans Memphis et marcha sur Alexandrie. [...]
[...] J.C, ils évinceront Tanoutamon L'Egypte qui bénéficie de l'aide des Grecs et qui est tiraillé par les Perses. Après l'époque des pharaons noirs, l'Egypte connaîtra plusieurs invasions, et notamment des invasions perses. Il faut souligner aussi que pour se libérer des assyriens, l'Egypte aura recourt à des mercenaires Grecs. La vingt-sixième dynastie est encore une fois une époque de grandeur pour l'Egypte, du fait que Psammétique 1er chasse les assyriens, mais Nékao son fils, sera arrêté dans ses plans du fait qu'il perdra la bataille à Carshemish contre le fils du roi de Babylone : Nabuchodonosor. [...]
[...] Cependant pendant tout son règne il ne prêta pas une grande importance à la politique et la coalition hittite reprit la plaine syrienne du Nord avec le roi Kadesh et les ports phéniciens avec Amourrou. L'œuvre de Thoutmosis 3 se retrouvait anéantie. La transition entre Aménophis 4 et Thoutankhaton reste obscure. Ce jeune roi dont on ne sait par quel événement il parvint à prendre le pouvoir se fît nommer Toutankhamon. Tout au long de sa courte existence il ne se donna pas la peine à gouverner, car la décadence de l'Egypte était proche et toute la politique extérieure égyptienne était dirigée par un général, le général Horembeb. [...]
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