Invasions barbares, grandes invasions, évolution de l'Empire Romain, Constantinople, Empire Byzantin, Wisigoths, Huns, Perse, armée romaine
Ce document est une carte intitulée « Grandes invasions, l'Empire Romain de 100 à 500 ». Pendant plusieurs siècles, l'Empire romain était garant de la paix et de l'unité du monde méditerranéen. La majeure partie de l'Europe est façonnée par cet Empire. Le terme de « Grandes invasions » se définit par les invasions et migrations qui ont affecté le territoire de l'Empire romain et de ses États successeurs, en Europe et en Afrique du Nord. La carte met en lumière les invasions barbares durant 400 ans, leur origine et la destination finale.
[...] Ils s'installent au Ve siècle dans l'actuelle Angleterre, en dépit de la résistance de chefs bretons, dont Ambrosius Aurelanius, qui donnera naissance à la légende du Roi Arthur. Ce carte explique l'installation les batailles et les royaumes qui vont se créer (II). II Des invasions, de l'assimilation des barbares à la disparition de l'Empire Romain d'Occident Les invasions ne sont pas nécessairement source de violences continues. Certaines invasions, constituent plus des fuites en raison d'autres invasions plus féroces, que d'invasions pures. [...]
[...] En 476, Odoacre, un général Barbare d'origine turco mongole, prend le pouvoir à Rome mettant fin à l'Empire Romain d'Occident. En raison de l'assimilation de la plupart des barbares, la disparition du dernier empereur romain d'Occident, Romulus Augustule, ne constituera pas un événement marquant pour les populations de l'Empire. Byzance ou Constantinople devient ainsi la seule puissance qui aura survécu au dépeçage de l'Empire Romain, jusqu'a la Chute de Constantinople, presque un millénaire plus tard, en 1453 par les Ottomans, une peuplade turco - mongole. [...]
[...] Cette deuxième « Rome » se présente comme la rivale de Rome, de l'Empire Romain d'Occident. L'emplacement de Constantinople est stratégique : située sur le Bosphore et le détroit des Dardanelles, Constantinople ou Byzance contrôle la route de la mer Noire à la mer Égée et à la Méditerranée. Mais l'historien Sozomène raconte que Constantin avait d'abord choisi le site de l'antique Troie, mais qu'une vision divine l'amène à stopper les travaux sur ce site et d'adopter celui de Byzance. [...]
[...] Les Vandales viennent du Nord et mènent des razzias en Espagne. L'Empereur Romain demande de l'aide aux Wisigoths. Les Vandales fuiront en Afrique du Nord, où ils feront de Carthage leur capitale, point d'appui pour lancer des attaques sur Rome, qui sera mise à sac (encore) en 455. Les Suèves sont proches des Alamands, originaires d'Europe Centrale, ils se réfugient au Nord - Ouest de la péninsule Ibérique. Outre les peuples germaniques, la carte indique les invasions de peuples Turco - Mongols (les Huns), sans oublier les Slaves (non présents sur la carte), peuple Indo Européen et semi nomade à l'instar des Huns. [...]
[...] Cela permet de peupler et ainsi mettre en valeur les terres. En échange, les Wisigoths se doivent de protéger les terres, ce qui permet à l'Empire Romain de préparer d'autres guerres futures, notamment contre la Perse. Mais, l'intégration des Wisigoths est mal gérée par l'administration romaine. Des tensions grandissantes apparaissent jusqu'à une bataille entre l'armée romaine et les Goths. Cette bataille s'achève par la défaite de l'armée romaine en 378 à Adrianople . Cette défaite amène comme conséquence un déclin de l'armée romaine. [...]
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