Alexandre le Grand, Philippe en Macédoine, IVe siècle, Auguste, domination romaine, Histoire antique, dieu, Iran, politique athénienne, démos, Égypte, Guerre du Péloponnèse, Grèce Antique, Démosthène, Pompée, Sparte, Artaxercès IV, Empire romain, Darius III
On a beaucoup de sources, mais pas faciles à utiliser. Ça tient à la personnalité d'Alexandre qui est un personnage : règne qui ne dure que 13 ans de 336 à 323. Il a entraîné des modifications dans l'histoire de la Grèce Antique. Le hasard : il aurait pu mourir dans sa première bataille. Personnage exceptionnel, dont on a beaucoup parlé dans l'antiquité.
La quasi-totalité des sources disponibles est postérieure à l'époque d'Alexandre, à l'exception des monnaies, ce qui implique de les étudier en détail. On a aussi à l'époque d'Alexandre, quelques allusions dans les discours des hommes politiques à Athènes. Il fallait définir la politique d'Athènes vis-à-vis d'Alexandre.
[...] Les historiens ont décrit l'empire achéménide à travers les yeux des historiens grecs. Idée d'en faire les inverses des Grecs : courageux à la guerre, pour la démocratie = orientaux lâches et esclaves. Mais Pierre Briand montre que dans les écrits orientaux on n'a pas du tout cette impression. C'est un empire vaste, le plus grand qui n'est jamais existé à cette époque. Un empire qui semble très bien tenu par les rois achéménides. On les rois ont réussi à se maintenir malgré les révoltes. [...]
[...] Trogue Pompée, Les histoires Philippiques, historien gaulois, de l'époque d'Auguste. Mais on ne l'a pas conservé, mais on a un résumé, écrit par Justin, au IIIe siècle apr. J.-C . Il donne une version abrégée, et ce n'est pas un historien, il fait des réflexions d'ordres morales, donc il va sélectionner les épisodes qui rentrent dans cette optique. Plutarque 46-125, source importante, pas un historien, mais un moraliste. Vie parallèle, des biographies. Il étudié en parallèle la vie d'un grec et d'un Romain célèbre. [...]
[...] Au début de son règne, la Macédoine s'étend sur les plaines qui se trouvent à l'est. À l'ouest, région de montage, plus ou moins contrôlé par les rois de Macédoine. Ces tribus macédoniennes reconnaissaient plus ou moins le pouvoir de Macédoine. Région montagneuse peu urbanisée, et Philippe a intégré cette région au royaume de Macédoine. Il a intégré ces populations, noué des alliances matrimoniales avec de grands aristocrates de haute macédoine et de manière globale il a réussi a imposé son autorité aux grandes familles macédoniennes, en les liant au pouvoir, et en les amenant à sa cour, de manière à mieux les contrôlé. [...]
[...] Les Hétaïres (compagnon) sont la troupe d'élite de la cavalerie. Philippe a mis au point une nouvelle infanterie lourde (la phalange), lourde, mais plus légère que les hoplites : capacité de mouvement supérieure à l'armée grecque traditionnelle. Peshétaïres (compagnon à pied) troupe d'élite à pieds. Longue lance la sarisse m sous Philippe). La troupe est composée de plusieurs lignes (16 environ contre 4 d'habitude en Grèce). Autre raison de son succès : état plus puissant que les cités, aucune cité individuelle ne pouvait résister contre un état. [...]
[...] Elle ne rentre pas dans les détails, et cela va lui permettre d'avoir des appuis en Grèce centrale. Hostilité croissante des Athéniens contre Philippe. Démosthène (384-322) à Athènes, prend la tête du groupe qui est contre les Macédoniens, il pousse les Athéniens à la guerre. Les évènements de la fin du règne de Philippe : bataille de Chéronée en 338. Philippe affronte une coalition d'état grec. Le conseil du sanctuaire de Delphes avait mandaté Philippe pour intervenir contre une cité voisine de Delphes, Amphissa, c'est la 4e guerre sacrée. [...]
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