Le premier phénomène est lié à la conséquence immédiate à la conquête, la perception par Rome d'un tribu (ex: après le 2e G de Macédoine, les citoyens romains n'ont plus besoin de payer de tribu, et ce tribu devient significatif des vaincus). De plus, cet afflux de richesse entraîne la déthésaurisation de ces fortunes, qui sont remis en circulation puisque cet argent est tout d'abord immédiatement et localement redistribué aux légionnaires. De plus, il y a un drainage au profit des citoyens romains. Tout ceci à des conséquences sur la société qui commence à englober l'ensemble du bassin méditerranéen.
[...] Ce qui peut expliquer la nature du gouvernement que reçoit césar pour l'année 58. Cette théorie est peu être un peu trop tranché (face a la théorie de la conquête décidée dés le départ). La guerre des Gaules, en tant qu'ouvrage, c'est que c'était le résultat par assemblage de toute une série de rapport que césar envoya a Rome des 58. D'après Goudineau, la continuation de la guerre des gaules par Hirtius (l'un des second de César qui après sa mort à achever les récits), ainsi que la structure tendrait à prouver que cela a été écrit d'une traite, après Alésia. [...]
[...] Puis on a une liste de 48 peuples soumis. Cette énumération a pour but de rendre comparable cette conquête à celle de la Gaule celtique par César. De plus, Auguste n'a jamais été présent lors de ces campagnes et cette dédicace met totalement de côté les acteurs réels de ces campagnes pour ne laisser que Auguste comme bénéficiaire unique de la conquête. On célèbre la victoire via la forme de l'édifice, qui est clairement hellénistique (très élevée, base carrée, circulaire au sommet ; forme funéraire). [...]
[...] Les choses se compliquent en 35 car Octave refuse d'aider Antoine dans la lutte contre les Parthes. Envoyer des légions signifierait lever des troupes en Italie alors que la propagande augustéenne a dénoncé les conditions du triomphe d'Antoine à Alexandrie à la façon hellénistique (ce qui rompt avec la culture républicaine romaine). La réaction d'Antoine est d'envoyer des lettres au Sénat durant l'année 34 avt pour demander la fin du triumvirat et le rétablissement de la République, cad le retour à un fonctionnement institutionnel ordinaire et que le Sénat reconnaisse et valide ses initiatives prises en Egypte, cad la légalisation de comportements présentés comme hellénistiques par Octave. [...]
[...] César prestige et début de carrière brillant. Mais ces deux n'ont pas le passé militaire de Pompée César Gaule celtique, Crassus empire Parthe. Ambitions pas encore concurrentes. Envisagent une campagne courte. Avant de partir en Gaule : élection de César au Sénat = résultat du triumvirat > grâce à la clientèle de Pompée. César demande de suite la ratification de tous les actes de Pompée = légalisation de tout ce qu'il a fait en orient : double mariage, Pompée épouse Julia la fille de César et devient son gendre (alors qu'il a 20 ans de plus que lui). [...]
[...] Le poids structurel, économique et politique des chevaliers dans une province est une grande nouveauté consécutive à la conquête, avec l'idée que ce qui définit la puissance et la distinction sociale à Rome-Ville doit se retrouver présent dans les provinces. Ces effets évoluent via l'extension géographiques. De plus, lorsqu'arrivent les guerres civiles, l'implication des provinces se trouve renforcé. b)La poursuite du mouvement des conquêtes -Pour la péninsule ibérique : La prise de contrôle de l'ancien empire barside est achevée en 197 avt lors de la création de la province d'Espagne citérieure et celle d'Espagne ultérieure. [...]
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