Rome conquise, cités grecques, intervention en Orient, gestion de territoire, Cicéron, conséquences à Rome
Les conséquences de cette conquête sur la façon dont Rome a géré ses rapports avec les cités grecques, les peuples de l'Orient en Méditerranée oriental. Ainsi que sur les transformations que tout cela a entrainées en Méditerranée et à Rome.
On va essayer de voir si l'arrivée de Rome qui n'est pas une puissance grecque et orientale en Orient a véritablement changé la donne. Plus précisément il s'agira de voir si Rome a introduit une nouvelle façon de gérer les rapports entre dominants et dominés en Orient. La question est intéressante dans la mesure où Rome au moment où elle arrive en Orient, ou elle est confronté à ce problème de gérer, administrer, on sait qu'elle a un passé derrière elle pour cela. Et ce n'est pas en Orient qu'elle a inventé, dans le cadre de ses rapports de force. Car auparavant elle a déjà été confrontée au problème de la gestion de territoire qui n'est pas à Rome et même pas en Italie. Donc, cela n'est pas une nouveauté et elle est tiraillée sur de front, d'une part appliquer bêtement ce qu'elle a déjà fait en Occident et de l'autre coté selon l'expression de Cicéron : « on ne peut pas traiter les Grecs comme les Espagnols » parce que derrière il y a un passé et une tradition politique d'une certaine façon assez proche de celle de Rome.
[...] Les romains ont inventés un nouveau privilège qui s'appel immunitas : est une protection fiscale, exemption de tribut. Donc, on peut être libre et de ne pas bénéficier de l'immunitas, il y a en gros trois catégories : Les cités libres et alliées qui ne paye pas d'impôt et sont libre et autonome. Puis parmi celle dite libre il y a celle qui ont l'immunité fiscale et celle qui ne l'on pas. La liberté des grecques au temps de la domination romaine est une liberté restreinte au registre politique et seulement politique. [...]
[...] La perception des Romains par les cités grecques. Les situations sont très différentes selon les peuples et selon les cités. Car Rome a toujours conçu ces relations avec tel ou tel communauté, qu'il s'agit de cité, de royaume au cas par cas. Les romains ont été capables d'inventer des multitudes de statue différente sans jamais uniformiser les choses. Parce que pour eux une relation c'est toujours une relation d'un état avec Rome. Ce sont des relations bilatéral et jamais conçu comme de véritable pas système. [...]
[...] Exemple : l'un des lieutenants de Sylla, L. Licius Murena a crée deux cités une en Lydie qu'il a appellé Murenia, et un autre à la frontière du Pont : Licinia. Pour donner des noms à ces cités on donne des noms dynastiques comme les souverains dynastiques, ce qui montre bien l'intégration et l'assimilation. César de son coté a crée un grand nombre de colonie et en Orient on assiste au développement de réseau routier à l'initiative de Rome, mais en Grèce c'est le développent d'une nouvelle Via Egnatia, qui va pour le moment de Dyrachrum sur la cote adriatique jusqu'à Thessalonique. [...]
[...] Les Conséquences à Rome de l'intervention en Orient. Les conséquences éco, polit, sociale, de l'intervention romaine dans le bassin méditerranéen orientale ont été considérable pour Rome. L'afflux de richesse, développement du luxe avec ces aspects positifs : les romains n'ont plus d'impôt à payer à partir de 167. Mais aspect négative dans la mesure où avec les conquêtes Rome a amené un très grand nombre d'esclave en Italie : 150 mille. Cette main d'œuvre bon marché représente une concurrence à la main d'œuvre local en Italie, laquelle a été mise à mal par les guerres puniques. [...]
[...] Elle est resté libre et autonome, son propre gouvernement et politique. Même ci Sylla prend la ville en 86, il lui rend sa liberté au nom de son passé prestigieux. Athènes est favorable à la domination romaine, elle a tout a y gagné, elle a reçu de beau cadeau en 167 : Délos et d'anciens clérouquies de l'époque classique. Elle a bénéficié de nombreux arbitrage favorable de la part du sénat romain même ci elle est en tord. Athènes fait un cas de figure exceptionnelle puisque s'est en raison de son passé prestigieux, de son apport à la culture qu'à Rome on lui rend hommage et lui pardonne même ci elle a cessé de faire le mauvais choix. [...]
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