La République romaine - publié le 07/02/2014

Thèmes abordés

République romaine, conquête romaine, Constitution, société romaine, Crise la République, Rome

Résumé du document

Ceci vient de « Res publica », chose publique c'est-à-dire l'État. Pour les Romains la Res Publica existe avant 509 Ave JC. L'État existe avant et existe après. Que le soit dans la royauté ou dans l'Empire, la responsabilité appartient à un seul homme, ce n'est que dans la République que le pouvoir est partagé. Les pouvoirs sont divisés en trois :
Le pouvoir des magistrats : il existe des magistrats supérieurs, ce sont les Consuls, il y'en a 2 :
Assemblées : représente le peuple, le populus, exprime une expression populaire, mais ça ne sera jamais comparable à la Grèce.
Sénat (conseil aristocratique) : contrôle l'élection des magistrats, la plupart des magistrats intègre le Sénat.
C'est un gouvernement oligarchique. À Rome, il n'y a pas de texte qui institutionnalise la République qui est en adaptation constante. La République est une période d'expansion considérable pour Rome. Rome était une petite cité du Latium qui fut soumise à l'influence des Étrusques. Sous la République, Rome va dominer l'Italie, mais aussi des cités grecques ; en 272 Ave JC, la cité de Tarente tombe aux mains des Romains.

Extraits

[...] Il monte des milices qui font des combats de rue contre les oligarques. César va négocier un renouvellement du triumvirat en 55 pour 5 ans. Crassus obtient un commandement en Asie pour combattre contre les Parthes, César lui reste en Gaule, Pompée à Rome. Crassus est tué par les Parthes, et les légions sont capturées. Désastre de cette expédition. Pompée exerce un pouvoir absolu à Rome, il est consul unique. On dit de Pompée qu'il exerce un principat avant l'heure. César est retardé par Vercingétorix, en 51 la Gaule est conquise. [...]

[...] César s'appuie sur le peuple mais aussi sur l'armée. Il s'inspire aussi de pratiques politique où il mélange des innovations et l'évolution des positions conservatrices, il reprend le thème de la concorde des ordres privilégiés. Mode personnelle plus hellénistique, recherche une divinisation pour s'assurer la légitimité. César à certains reculs par rapport à ca, il est écrivain, et plutôt sceptique en matière religieuse. Il ne peut abattre complètement les institutions romaines, il prend le titre de dictateur, consul Les Romains font preuves d'ambigüité, ils mettent en avant le principe de liberté mais en réalité ont des pratiques serviles avec César ; Politique ambigüe aussi du Sénat ( encouragement de la mise en avant d'un pouvoir personnel, tout en pratiquant une critique du risque de changement de régime. [...]

[...] Marius va se retirer de la vie politique Hostilités reprennent vers 91 av JC. Soulèvement en Italie avec la Guerre des Alliés (Socii)( pb de citoyenneté. Guerre sociale très dure qui déchire l'Italie. La scène politique est divisée, les Italiens sont défaits militairement vers 89 av JC. Politiquement, ils obtiennent la promesse d'avoir la citoyenneté romaine. Il faut les recenser, or la censure n'est pas pourvu pour les Italiens, il faut attendre 70 av JC. La population atteindra 1M de personne. [...]

[...] Héritage politique important. La mère (Cornelia, et une dès fille de Scipion l'Africain), héritage patricien mais reste de la plèbe. Tiberuis épouse une Claudia (fille d'Appius Pulcher). Caius épouse aussi la fille d'un consul (Licinus Crassus Dives). Les Gracques reçoivent une éducation ouverte sur l'hellénisme, leur précepteur fut un stoïcien, ils sont formés à la rhétorique Tiberius devient tribun en 133, il a 33 ans. Tiberius était soldat au coté de Scipion Emilien pendant la destruction de Carthage. Il fut envoyé au siège de Numance où sa conduite fut critiquée, car il s'est rendu à l'ennemi. [...]

[...] L'objectif est de modifier l'élite politique. Ceci introduit une distinction entre l'intérêt des sénateurs et des chevaliers. Sur la question italienne, Caius propose en 122 de donner la citoyenneté italienne à ceux qui possèdent le droit latin. Intégration progressive de nouveaux citoyens. Cette proposition est rejetée, soulignant le rejet de la plèbe romain par rapport aux italiens, et une baisse de la popularité de Caius. De plus fait face à la surenchère de certains tribuns. Projet de création de 12 colonies de 3000 citoyens sur l'ager publicus. [...]