République romaine, Empire romain, monde romain, guerres civiles, Égypte, Grèce, Caius Marius, Sylla, loi Valeria, César, Pompée, Marcus Crassus, triumvirat
Après plus de 200 ans de conquêtes dans le bassin méditerranéen, Rome, au 1er siècle avant notre ère, s'étend sur 3 continents. La République commence cependant à être fragilisée et donc menacée, car la compétition entre les aristocrates s'aggrave : en effet, ces derniers sont à la recherche permanente de pouvoir, de prestige militaire et de popularité. De nombreux conflits mettent alors à mal les institutions de la République.
[...] Sa disparition marque alors le début d'une nouvelle guerre civile et fera émerger un grand empereur romain, César Auguste (né Octavien). III. Après la mort de César Les conjurés assassins de César (Cassius Longinus, Lunius Brutus, Sextus Pompeius) et leurs partisans, devant le mécontentement de la population, quittent Rome pour la Grèce et l'Asie. De l'autre côté, les héritiers de César sont Marc Antoine (consul dont lui sont favorables les vétérans et les populaires, + fidèle lieutenant de César), Octavien (petit-neveu et fils adoptif de César) et Lépide (maître de la cavalerie de César). [...]
[...] De la République à l'Empire : le monde romain théâtre des guerres civiles Après plus de 200 ans de conquêtes dans le bassin méditerranéen, Rome, au 1er siècle avant notre ère, s'étend sur 3 continents. La République commence cependant à être fragilisée et donc menacée, car la compétition entre les aristocrates s'aggrave : en effet, ces derniers sont à la recherche permanente de pouvoir, de prestige militaire et de popularité. De nombreux conflits mettent alors à mal les institutions de la République. [...]
[...] Rapidement, César se lance dans la conquête de la Gaule et, son pouvoir devenant trop important, la République commence à se méfier de lui. Le sénat finit alors par lui retirer ses fonctions, exige la dissolution de son armée et lui demande de revenir à Rome en tant que simple citoyen pour y répondre de ses actions en Gaule. Les autorités romaines lui font savoir que si son armée s'aventure au sud du Rubicon (fleuve) il sera immédiatement considéré comme un traître. [...]
[...] Pompée évacue Rome à ce moment et la majorité des sénateurs fuient avec lui. César met la main sur le trésor public, il s'assure le soutien populaire et met en place la distribution du blé gratuit pour l'obtenir en se donnant une image de « sauveur ». Il acquiert ainsi une légitimité par les institutions publiques et, pendant ce temps, Pompée tente de se réfugier en Égypte avec ses sénateurs. Néanmoins, les Égyptiens redoutent la fureur de César et ainsi, le Roi Ptolémée XIII, pour le satisfaire, fait en sorte que Pompée soit tué. [...]
[...] À cette période, le sénat confie surtout l'expédition de l'Asie à Sylla, mais, appuyé par les populares, Marius le devance et Sylla le prend comme un affront. Il refuse d'abandonner ses légions et marche alors sur Rome. Il va massacrer les Marianistes (partisans de Marius) et Marius va se réfugier en Afrique. De -88 à Sylla reconquiert alors la Grèce occupée puis va en Asie. En 87, comme Sylla est absent, Sinna (pro- Caius Marius) prend sa place. Marius rentre à Rome en 86 et y meurt la même année. Les pro-Marianistes vont alors vouloir éliminer tous ceux qui avaient soutenu Sylla. [...]
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