Religion athénienne, ta hiera, ta theia, ta nomaia, ta nomi zomena, Athènes, religion, religion civique, Dionysos, Athéna, Zeus, Métis, Thyrse
Il n'y a pas de mot grec qui correspond à notre mot « religion » :
- Ta hiera "les choses sacrées" : désigne des offrandes, des sanctuaires, des victimes sacrificielles ou certains de leurs organes, des rites
- Ta theia "les choses divines"
- Ta nomaia/ta nomi zomena "ce qui est conforme à la coutume, à la règle, à la norme ancestrale
[...] Lié à la fertilité, à la végétation, à la viticulture et au vin. La naissance de la tragédie grecque est liée à son culte : il fait don de la prophétie et de la poésie. Thyrse : long bâton de chêne recouvert de vigne et de guirlandes de lierres : un de ses attributs. A cause de l'effet de son vin, les femmes athéniennes se pendaient en masse : cela stop à l'institution de fête en son honneur : les Dionysies. [...]
[...] C'est ce qui fait le particularisme de la religion athénienne. La religion athénienne s'inscrit fans la religion grecque tout en s'en séparant par des spécificités propres. Fondation d'Athènes Cécrops (mi-homme mi- serpent, considéré comme le premier roi d'Athènes) fonde la ville qui n'a ni nom, ni divinité protectrice. Athéna et Poséidon vont se disputer le territoire, celui qui l'emportera sera celui qui fera le don le plus utile à l'humanité. Poséidon frappe l'acropole de son trident, fait jaillir une source salée et un cheval noir invincible force, guerre) ; Athéna quant à elle frappe le sol de sa lance et fait pousser un olivier (=paix, longévité). [...]
[...] Fête religieuse mais qui montre aussi la cohésion et l'unité de la ville. Institués par Thésée après qu'il eut réalisé l'unité de l'Attique autour d'Athènes : devient donc le symbole de l'unité de l'Attique autour de la ville. Rassemble l'ensemble de la société athénienne, même les non citoyens. Sont présents les citoyens, les femmes, les enfants, les métèques hommes libres et les esclaves. Grandes Dionysies : Les plus imposantes des trois grandes fêtes en l'honneur de Dionysos (lénéennes et petites dionysies champêtres). [...]
[...] Reconnaissance officiel du nouveau-né par son père et attribution d'un nom, reconnaissance sociale. Après naissance, maisonnée est soumise à des rites de purification, particulièrement la mère et toute personne qui a eu un rapport avec l'accouchement. Le sang versé est considéré comme une souillure : interdit d'accoucher dans un sanctuaire. Offrandes sont faites aux divinités en rapport avec la naissance : Artémis, Illythie, Déméter Kourotrophe ; consécration des linges salis lors de l'accouchement et des ceintures portées par les mères. [...]
[...] de long en bas-relief procession des athéniens pendant Panathénées. Plus grand temple de la cité - Erechthéion : abrite une statue d'Athéna, lieu de culte essentiel de l'Acropole depuis ses origines ; intimement lié à la fondation et à la pérennité de la cité. - Temple d'Athéna Niké (victorieuse) : chapelle en l'honneur d'Athéna apportant la victoire aux Athéniens L'Agora Athènes, un bon exemple de téménos : place publique d'Athènes. On y trouve le temple d'Héphaïstos (consacré au dieu de la métallurgie, à l'intérieur statues en bronze d'Héphaïstos et Athéna), l'autel des douze dieux (point zéro pour le calcul des distances) et la voie sacrée des Panathénées Le théâtre antique de Dionysos est lié à la religion civique (en l'honneur de Dionysos), se trouve dans le sanctuaire de Dinysos III) Une religion civique Religion civique : pratique publique de la religion ; Pas de séparation entre la vie publique et la religion. [...]
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