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Les rapports sociaux à Rome sont dynamiques et pas une fin en soi. A l'intérieur d'un même groupe il existe des échanges de même qu'il existe des échanges entre différents groupes. Ce sont des liens de recommandation, ce sont des sortes de service qui relie les membres de l'aristocratie et leurs inférieurs. Entre membres égaux, c'est l'amicitia ce sont des liens horizontaux entre membres d'un membre d'un même groupe et la clientela entre différents groupes sociaux.
[...] Quelques aspects de la vie quotidienne 1ere partie : les rapports sociaux. Clientèles et amitiés. Les rapports sociaux à Rome sont dynamiques et pas une fin en soi. A l'intérieur d'un même groupe il existe des échanges de même qu'il existe des échanges entre différents groupes. Ce sont des liens de recommandation, ce sont des sortes de service qui relie les membres de l'aristocratie et leurs inférieurs. Entre membres égaux, c'est l'amicitia ce sont des liens horizontaux entre membres d'un membre d'un même groupe et la clientela entre différents groupes sociaux.qui est le lien entre le patron et L'amicitia n'est pas l'amitié telle qu'on la connait, c'est des relations bienveillantes codifiés par des comportements qui sont des échanges inégaux entre un obligeants et un obligé. [...]
[...] Les gros événements. La phrase du pain et des jeux est tiré de Juvénal, il déclare qu'il n y a plus de citoyens romains mais plus que du pain et des jeux (course de char). Il dénonce la paresse du peuple romain et sa dépolitisation. Le peuple privé de son pouvoir politique attends en échange de cet abondons que le prince lui donne une vie facile et la satisfaction de tous ses désirs. Point du vue habituelles des moralistes Romains. [...]
[...] Le clientélisme est un aspect économique et social de la cité. Sous les Julio-claudiens, les empereurs s'efforcent d'augmenter leurs clientèles au dépends des sénateurs. Les empereurs sont ceux qui peuvent le mieux favorises leurs carrières. Les sénateurs ont très peu d'enfant et hérite ainsi de leurs clientèles. A partir de Vespasien, l'empereur est le premier patron privé de Rome. Collégiat et Corporat Il existe une grande diversité de Collégiat : ← Association de quartier ← Association à but professionnelle ← Association religieuse (voués au culte d'une divinité) ← Association funéraire Ces associations ont une histoire très ancienne, dans la première moitié du premier siècle, elles sont très politisées. [...]
[...] Ces associations peuvent se choisir un patron. C'est le seule endroit de la société romaine ou on trouve une convivialité entre des hommes de différents statuts, c'est aussi le seule endroit ou les catégories mange ensemble, font des sacrifices ensemble. Les fonctions de ces associations sont tout abord économique, sociale (être dans une association pour les plus humbles, est un moyen d'être reconnues dans al société) et la dernière fonction est le but funéraire, puisqu'avec les cotisations, l'association garantit un enterrement décent et aider les veuves et les orphelins. [...]
[...] (Les grandes familles romaines tendent à disparaitre). La clientèle concerne aussi la collectivité, les patrons doivent à leurs clientèles la protection au sénat, devant le sénat et les tribunaux. Ils doivent aussi dans le cas des communautés , l'aide à la production des élites locales. Ces relations entre un supérieur et un inferieur sont basé sur une notion centrale qui est la notion de la bonne foi, la fidès. Les duex parties s'engagent à se fournir une aide, et la non respectassions de cette fidès peut être portés devant les tribunaux façons de devenir clients : ← Par l'affranchissement ← Par testament ← Client librement choisis par le patron. [...]
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