Grèce hellénistique, professeurs, éducation, Athènes, enseignement, pédotribes
A l'époque hellénistique, l'éducation qui c'est diffusé, c'est l'éducation qui c'est "créée" à Athènes au 5ème – 4ème siècle. Il y avait deux types de formations : la première était un enseignement du grammairien, donné par les pédotribes, la seconde avec de véritables élèves autour d'un professeur, enseignant pour les "jeunes adultes". Comme exemple de professeurs, Aristippe et Socrate. Aristippe se faisait payer très cher à la différence de Socrate. La plus part des maîtres faisaient comme Aristippe. L'enseignement de la rhétorique, de la philosophie et des belles lettres étaient majoritaire.
Cet enseignement se diffuse beaucoup, car depuis le 4ème siècle, celui qui aspire à diriger la cité doit savoir manier les lettres et utiliser le langage. C'est donc dans cet enseignement que se forme l'élite "directrice" des cités grecques.
[...] Le gymnasiarque n'est pas un enseignent, c'est un chef administratif. Pour la partie militaire, il y a l'éphébarque qui s'occupe donc de ceux qui sont dans la partie pré-éphébique. L'aspect pédagogique, l'enseignement A la tête, le pédonome qui est chargé de la surveillance du corps enseignants. Il y a deux aspects important pour le personnel enseignants : les compétences. Il n'y a pas de diplômes, il n'existe donc qu'il moyen pour vérifier les compétences : il se présenter devant une assemblée du peuple, par exemple Millet ; dire quels maîtres ils ont eu, quelles formations ils ont suivi. [...]
[...] Pour se faire connaître, les professeurs donnent des conférences, qui de plus leur permettent d'être payés. A Delphes nous avons le cas d'un professeur de rhétorique originaire de la Cappadoce (état indigène d'Asie Mineur, pas une terre grecque), de la ville de Mazaca, qui donnera des conférences à Delphes et qui aura un monument à son nom. Delphes tire de la gloire de la venue de ce professeur. Cette institution était-elle véritablement stable ? Son grand défaut est le risque d'être éphémère. Les professeurs étaient donc plus tentés de bouger. [...]
[...] Il existe également des fondations faites par les rois, à l'extérieur de la cité, afin de se faire connaître. C'est le cas des Attalides (Pergame) qui voulaient faire une politique de générosité afin de faire oublier leurs mauvaises vues. Ainsi Attale II a fait un don à la cité pèlerin de Delphes. C'est un acte e publicité car beaucoup de pèlerin à Delphes. La somme de drachmes à servi à payer les maîtres : les paideutai c'est-à-dire les enseignants. Le roi Eumène II offrira quant à lui 28 milles médimne de blé à Rhodes (un médimne équivaut à 40 litres). [...]
[...] La plus part des maîtres faisaient comme Aristippe. L'enseignement de la rhétorique, de la philosophie et des belles lettres étaient majoritaire. Cet enseignement se diffuse beaucoup, car depuis le 4ème siècle, celui qui aspire à diriger la cité doit savoir manier les lettres et utiliser le langage. C'est donc dans cet enseignement que se forme l'élite "directrice" des cités grecques. La formation Il existe des petites écoles élémentaires, jusqu'à 13-14 ans. Puis apparait le gymnase, qui s'adresse aux jeunes gens, mais uniquement masculin, et ne donnant pas seulement une formation militaire. [...]
[...] C'est un domaine fondamental pour la vie de la cité. Dans ces institutions il y a des "élèves" de toutes les origines, mêmes des romains, qui doivent apprendre le grec, même sous dominance romaine. Il n'y a pas d'austérité romaine contre le monde grec. Avoir reçu une formation spécifique, un savoir-faire est une chose prestigieuse. Plus la personne est demandée plus elle sera payée. Les professeurs deviennent les vecteurs de propagandes de la puissance royale. Ils ont donc un rôle international, mais également culturel et politique. [...]
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