monde, cités, l'antiquité, Grèce Classique, Egypte.
Expansion s'est accompagnée de création de villes, impossible de les compter, parfois elles sont éphémères, remontent à Alexandre. Selon Apien Alexandre aurait créer de façon certaine 13 villes. L'identification des sites est problématique, autant que les motivations. Volonté politique ? Motifs économiques ? Sédentariser des peuples ? Beaucoup de villes mal conçues ont disparues vite et de manière totale et définitive. Alexandre a fonder plusieurs Alexandrie, Alexandrie en Egypte, sur les Bouches du Tigre qui devient plus tard Spasinou Charax prospère qui commande plus tard le commerce maritime par le golf persique vers l'Inde V siècles plus tard. Alexandrie-Merv … Villes refondées par les Séleucides. Les Ptolémée, hormis leur rôle dans le développement d'Alexandrie ils ne fondent pas de cités en Egypte, sauf des postes pour la chasse aux éléphants et pour le commerce avec des populations africaines ( ville de Bérénice ou de Philotera ). Ils préservent la vocation agricole. Mais hors d'Egypte comme en Syrie ou en Palestine ils ont la même politique que les Séleucides, ils refondent des villes en donnant des noms dynastiques à de vielles villes du pays, Akko est appelée Ptolémaïs, ou Amman est appelée Philadelphie.
[...] Infériorité numérique. Les deux adversaires cherchaient de la nourriture, dans une région de collines ils sont incapables de se voir, leurs armées se heurtent près de Phères et tournent plutôt en faveur de Rome, on interrompt le combat, le lendemain un brouillard se lève, Philippe reprends sa marche, ses troupes se perdent, sur la colline, il est en hauteur, mais il a peu d'archers, cet avantage de la position dominante est relative. Philippe forcé à reculer, le combat s'engage à cet endroit, la phalange est brisée par le choc avec les romains. [...]
[...] Cela est la condition nouvelle de leur puissance, certes il y a une réflexion sur la notion de royauté, chaque roi fait un traité sur la notion de bonne royauté. Propre à chaque roi. Type idéal de roi qui remonte à un Alexandre idéalisé, dont les auteurs tracent tour à tour le portrait. Roi guerrier qui s'expose, vainqueur, c'est pour cela qu'il peut se donner le titre de roi. Ptolémée IV aurait abattu un taureau d'un seul coup de javelot, roi chassant le lion, le buffle sauvage . représentation idéalisées. [...]
[...] on a pas de descriptions de ces machines. Ce n'est pas un homme de guerre, mais un savant. Sa tombe est découverte en -75 par Cicéron. Adaptations militaires aux nouvelles réalités historiques Transformation de cette armée, mais celle ci repose sur un schéma : celui de la phalange. Fait le succès de ces armées impériales, et le succès d'Alexandre, la phalange macédonienne. Lanciers, lance de plus en plus lourde, plusieurs hommes pour la soulever et pour courir vers l'ennemi, trouée dans les rangs adverses. [...]
[...] La portée de cette innovation ? Certains ont pu songer à des chars d'assaut modernes, mais limites, on constate l'efficacité limitée des éléphants dans la bataille, ils ont surtout un rôle psychologique, ils déstabilisent l'adversaire et les désorganisent. La bataille de Rafia, a vu s'affronter en -217 le choc des éléphants. Leur présence n'est liée à aucune bataille sauf les victoires de Phyrros mais liée à ses phalanges et à sa cavalerie ( bataille d'Héraclée en 280 et Ausculum l'utilisation qui a prévalue c'est un renforcement des troupes par des escadrons d'éléphants, les succès viennent d'autres raisons, ils sont munis de plates-formes fixées sur leur dos, un à trois hommes jettent des objets sur les assaillants, avantage réel tant que les éléphants n'ont pas été attaqués, le ventre reste le point vulnérable, ils ont peur, il faut les habitués, on leur fait boire de l'alcool. [...]
[...] On passe à un autre type de bataille. Inadaptation de certaines armées, elles ont gardé le même modèle alors que tout change. Guerres couteuses, notamment en hommes et qui se traduit souvent par des carnages. Déserteurs, d'un côté mystique du chef implique un attachement des hommes à celui qui apporte la victoire et de l'autre une indifférence aux pertes. Le roi est seul par rapport au reste de la masse des hommes. Couteuse en hommes car il n'y a pas de traditions de garder en vie les vaincus ou les prisonniers, au V ème siècle Euripide explique que la mise à mort de sang froid d'un prisonnier vaincu est illicite et pourtant c'est une pratique courante. [...]
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