Histoire, romaine, statut, politique, Rome, antique, institution, magistrature
Au II° siècle avant notre ère, Rome se sépare de Carthage, c'est une politique d'expansion. En 218 avant Jésus Christ, Rome possède la Corse la Sardaigne et la Sicile. La puissance romaine va s'étendre jusqu'au rive de la Manche au nord et jusqu'au rives de la Namibie au sud. L'ensemble de se territoire n'a pas une population homogène. Les populations qui y habitent n'ont pas tous les mêmes statues ni politiques ni sociaux.
[...] En 218 avant Jésus Christ, Rome possède la Corse la Sardaigne et la Sicile. La puissance romaine va s'étendre jusqu'au rive de la Manche au nord et jusqu'au rives de la Namibie au sud. L'ensemble de se territoire n'a pas une population homogène. Les populations qui y habitent n'ont pas tous les mêmes statues ni politiques ni sociaux. La diversité des statues politiques et sociaux au sein du peuple romain Une population diversifiée Les hommes ne sont pas tous égaux en droit. [...]
[...] La réunion de ces comices ne se fait que sur convocation d'un magistrat. Elles ne se réunissent pas lors de jours dit néfastes, les fêtes religieuses et les jours de marchés. Ce qui laisse 195 jours fastes. A partir de la fin du siècle les citoyens obtiennent le droit de voter à bulletin secret. On voit apparaitre la création d'une série de lois tabellaires (à bulletin secret) à partir du milieu du siècle avant notre ère. Une tendance à la démocratisation du système politique républicain du fait du rôle croissant des comices tributes aux dépens des comices centuriates. [...]
[...] L'ordre sénatorial et l'ordre équestre sont très proche, ils ont les même conditions de moralité, de dignité, les fondements de leur fortune sont quasiment identiques. La terre est idéologiquement survalorisée, elle est une source essentielle de l'assise sociale. Les pratiques financière sont l'usure avec des prêts à taux scandaleux, pour des individus ou pour des collectivités. Le grand commerce maritime et la prise à ferme sont interdits aux sénateurs. La taille des fortunes entre sénateurs et chevaliers sont équivalentes en moyenne. [...]
[...] Ce sont les tributes urbaines. Se sont ajouté 31 autres tributs de peuple romain, des tributes rurales. Les senseurs ont le droit d'inscrire un citoyen dans n'importe quelle tributes à la fin de la République. Les effectifs respectifs sont devenus très inégaux. Les 4 tributes urbaines ont des effectifs fort différents des autres. Le poids électoral, législatif, des citoyens appartenant à ces 4 tributes urbaines est très réduit par rapports aux autres. Cette disproportion est compensée par le fait que Rome est éloigné des autres cités ou vivent des citoyens romains. [...]
[...] Elles ne disposent d'aucun droit politique. Ni vote ni éligibilité, ni armée. Elles n'ont pas la pleine maitrise de leur action d'un point de vue juridique. Elles ne peuvent pas faire appel au peuple en cas de procès. Cependant elles bénéficient des droits de propriété et des droits de commerces. - L'affranchi de citoyen romain C'est un ancien esclave, en marche vers la citoyenneté. Un affranchi prend le statu juridique du maitre qui l'a affranchi. Il devient un citoyen de droit restreint, il obtient le droit de suffrage mais ne peut juridiquement pas accéder au rend de sénateur ou de magistrat. [...]
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