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Il se compose de la Grèce et ses îles, de la Crète, du sud de l'Italie, de la Sicile, et de l' « Asie mineure ». Les Grecs ont colonisé une partie de la Méditerranée, tout autour de la mer noire, et dans le sud de la France (600 : fondation de Marseille). Le monde Grec n'a jamais été uni politiquement avant Alexandre le Grand, c'est-à-dire qu'il n'y avait pas de royaume grec. La Grèce est divisée en une centaine de micro états qui sont en situation de rivalité (cités grecques). La cité en grec ancien se dit polis, en latin Ciuitas : ce n'est pas une ville, c'est un état d'où parfois le terme de cité-État. C'est un état géographiquement, qui se compose d'un centre urbain et d'un territoire rural ; elle a donc des frontières. La ville est le siège du gouvernement de la cité. Celle-ci est composée de citoyens (censés être les habitants des origines => ils ont donc des droits) et de non citoyens (les étrangers qui résident avec quelques droits et les esclaves). Les citoyens composent seulement 10% de la cité et ont le droit de se battre. Chaque cité a son gouvernement et son armée. Par exemple les deux cités grecques les plus célèbres sont Athènes et Spartes. Ces cités sont dirigées de manière collective, le gouvernement de ces cités est formé par une Assemblée souvent d'aristocrates ou encore du peuple : elle élit des représentants souvent pour 1 an et élit des magistrats. Il est bon à savoir que l'on élit les généraux dans l'antiquité. De nos jours la principauté de Monaco a un système assez proche de celui-ci, ou encore Singapour qui est véritablement une cité état, qui mène une politique internationale qui ressemble à celle des cités grecques. Toutes ces cités forment un monde à part, et ont la haine de la royauté (tout est fait pour diviser au maximum le pouvoir des individus). La guerre entre cités est très codifiée : mais lorsqu'elles sont en guerre contre les rois elles ne se comprennent pas. Elles ne sont pas toutes égales en puissance, ce qui fait que les plus faibles doivent s'allier pour survivre aux puissantes : elles forment donc des ligues de cités souvent dominées par les cités puissantes. Elles ont malgré tout la sensation d'être Grecques : dans la langue, les croyances, dans l'idée que la cité est un idéal comme modèle d'organisation ; cependant cela n'empêche pas le fait qu'elles soient rivales. Si parfois elles sont solidaires, c'est surtout en cas de problèmes extérieurs (...)
[...] Si parfois elles sont solidaires, c'est surtout en cas de problèmes extérieurs. La stratégie est la manière dont on conduit l'armée, c'est à dire l'art de gagner la guerre. La tactique est la manière dont on place les unités sur le champ de bataille, c'est-à-dire l'art de gagner la bataille. Ce qui est fondamentale, est le fait que les cités grecques ne se conquièrent pas entre elles : lorsqu'une cité fait la guerre à une autre et s'en empare et fait d'elle une cité vassale. [...]
[...] L'honneur acquis à la guerre va déterminer le rang des individus dans la société (honneur = mourir à la guerre). Les Athéniens et Romains sont effrayés par ces coutumes de guerres considérées comme barbare (dès la naissance il y a une sélection des nourrissons commission définit si ils seront aptes à être guerriers ou mères si tel n'est pas le cas ils sont jetés dans un gouffre). Les fêtes : il existe une fête qui s'appelle Artémis qui est sanglante. [...]
[...] Ces cités sont dirigées de manière collective, le gouvernement de ces cités est formé par une Assemblée souvent d'aristocrates ou encore du peuple : elle élit des représentants souvent pour 1 an et élit des magistrats. Il est bon à savoir que l'on élit les généraux dans l'antiquité. De nos jours la principauté de Monaco a un système assez proche de celui-ci, ou encore Singapour qui est véritablement une cité état, qui mène une politique internationale qui ressemble à celle des cités grecques. [...]
[...] Athènes durant la guerre du Péloponnèse est à la tête de la ligue de Délos face à la ligue de Sparte ; elle renforce son autorité sur sa ligue (régime de tyrannie face aux autres cités). On va prélever de plus en plus d'impôts de manière injuste sur ses alliés. Ce qui va amener à sa ruine en 404 lors de sa défaite face à Sparte (guerre du Péloponnèse) : dû aux démagogues (tranche à Athènes qui veut accéder au pouvoir en flattant le peuple). [...]
[...] S'oppose la ligue de Sparte et d'Athènes (ligue de Délos centre géographique de la Ligue). Sparte a une excellente armée de terre (considérée comme invincible) c'est l'inverse pour Athènes (meilleure flotte). Les Spartiates essayent de provoquer la guerre sur terre et les Athéniens sur mer. En 404 c'est la victoire de la ligue de Sparte, la défaite est grave pour Athènes qui est humiliée : ce qui amène au renversement du régime politique en place fin de la démocratie) et à l'obligation de rentrer dans la ligue de Sparte. [...]
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