Guerre punique, rome, conquêtes, grèce, macédoine, antiochos III, pydna, peninsule ibérique
quelles sont les étapes de l'expansion de Rome vers la Méditerranée ?
[...] La ville est rasée et la population est réduite en esclavage. Elle devient à son tour une province romaine, la « province d'Africa ». Conclusion Pour conclure, on peut dire que l'impérialisme romain est motivé par des raisons militaires (de façon préventive), pour des raisons économiques (mines, cultures, impôts) mais aussi pour des raisons personnelles. Des hommes veulent s'illustrer à la guerre par des victoires importantes, ce qui va asseoir leur gloire et ils vont avoir des richesses importantes pour avoir des postes-clés. [...]
[...] De plus, les consuls sont divisés. 2*La victoire de Rome (212-201) Les romains prennent conscience des défauts de leur stratégie et font confiance à Fabius Maximus Cunctator (le temporisateur). Sa stratégie est d'éviter tout choc frontal contre les carthaginois. Il veut utiliser la guérilla. Il y a alors un vrai espoir de victoire car les Scipions empêchent les renforts d'Espagne de partir. Les carthaginois sont « coincés » en Italie légions qui pratiquent la guérilla sont mobilisées. De plus, les défaites sont provoquées par la hâte donc on invente des pro-magistratures ou on prolonge les magistratures, par exemple, les Scipions seront huit ans en Espagne. [...]
[...] Les deux frères Scipions meurent en 211. On manque alors de généraux compétents à Rome c'est pourquoi on fait appel à un de leur fils Publius Cornelius Scipion. Il est très brillant et il aura des pouvoirs pro-consulaires c'est-à-dire que même s'il n'a pas fait son cursus honorum, il peut diriger les légions. Il se débrouille très bien en Espagne : Hasdrubal est obligé de s'enfuir vers l'Italie mais il se fait écraser en 207 à Métaure. Vers 205, les carthaginois ont réussi à amener du renfort d'Afrique vers l'Italie : les romains sont épuisés et se divisent. [...]
[...] Elle demande alors l'aide de leur allié Rome. Au début, les romains ne recherchent pas la guerre. Par la diplomatie, ils font signer en 226 entre Carthage et Massalia par lequel les carthaginois ne doivent pas passer le fleuve Jucar. Mais les carthaginois ne respectent pas ce traité et en 219, ils attaquent Sagonte, une cité alliée de Marseille. C'est une vraie déclaration de guerre. Les romains sont inquiets et vont débattre : certaines familles poussent à la guerre pour des raisons économiques et par intérêt militaire. [...]
[...] Les cités grecques, elles, restent fidèles à la Macédoine. La bataille de Pydna a lieu en 168 et voit Rome sortir victorieuse. Face à la coalition, elle va se montrer plus dure, surtout à l'égard de la Macédoine : c'est la fin de son indépendance, elle est divisée en 4 républiques indépendantes (les mérides) avec l'interdiction d'avoir des contacts entre elles. Les autres alliés de la Macédoine sont réduits en provinces romaines et en esclavage. Les cités grecques seront divisées avec différents statuts. [...]
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