Grèce antique, politique, autonomie, Polis, démocratie athénienne, citoyen athénien, esclave, mythologie, religion, philosophie, Socrate, Pythagore, Aristote, littérature, odyssée, tragédie grecque, sculpture, architecture, mathématiques, médecine, Hippocrate
La démocratie est le pouvoir du peuple, le statut de l'individu qui confère la compétence à gérer les affaires de la cité : on est donc bien dans une démocratie, car la parole de n'importe quel citoyen est égale à n'importe lequel, il y a une égalité absolue en termes de capacité à prendre des décisions politiques. Le statut de naissance confère la compétence à participer à la décision politique donc ce n'est pas des études ou des connaissances dans telle ou telle chose, ce qui confère la légitimité de telle chose c'est le statut social. La démocratie athénienne est purement horizontale c'est-à-dire que tous les citoyens ont le même pouvoir et leur volonté a la même force. Dans ce sens, la démocratie athénienne se différencie totalement de la démocratie telle qu'on la connaît à l'heure actuelle.
[...] Le statut de naissance confère la compétence à participer à la décision politique donc ce n'est pas des études ou des connaissances dans telle ou telle chose, ce qui confère la légitimité de telle chose c'est le statut social. La démocratie athénienne est purement horizontale c'est-à-dire que tous les citoyens ont le même pouvoir et leur volonté a la même force. Dans ce sens, la démocratie athénienne se différencie totalement de la démocratie telle qu'on la connaît à l'heure actuelle. [...]
[...] Nous avons une littérature qui se détache partiellement de la religion, car elle continue à parler des rapports entre les hommes et les dieux, mais elle essaye de véhiculer des messages qui ne sont pas exclusivement des messages religieux sur l'explication du monde et la création de l'homme. Les arts La production artistique en Grèce se caractérise par 2 choses : la sculpture et l'architecture. La sculpture : son but est de monter un idéal et donc on ne recherchait pas à retranscrire quelqu'un ou la nature, mais on essayait de sculpter un idéal de beauté. [...]
[...] Les Grecques ont détaché les maths de la pratique pour concevoir des règles abstraites et génériques. À partir du moment où ils ont commencé à utiliser des systèmes maths abstraits, ils s'en sont servis pour établir des principes d'astronomie et c'est donc à l'époque grecque que sont apparus les 1ers systèmes visant à remplacer la Terre dans un ensemble global. La médecine avec Hippocrate qui a pour particularité, l'homme peut intervenir sur autrui sur soi-même que la vie et la mort ne dépend pas exclusivement de dieu la science vient s'opposer à la toute-puissance d'un dieu, l'anatomie ne l'intéressait pas il considérait que seuls les fluides devaient être traités sans tenir compte de l'anatomie. [...]
[...] La mythologie explique que grâce à l'union du ciel et de la terre il y a eu l'homme la religion n'a pour but de diriger la vie des gens ou de leur donné des règles le dieu sert à expliquer l'existence de l'homme sur la terre et elle a un but collectif c'est-à-dire protéger la cité, l'a guidée vers un mieux collectif, mais se désintéresse de l'individu ou de leur action puisqu'ils sont par nature absolument libres ils peuvent faire ce qu'ils peuvent, mais ne peuvent pas porter atteinte à la collectivité. [...]
[...] C'était une société très militarisée, belliqueuse ont les gens étaient dressés pour faire la guerre, qu'est ce qui conférait en plus la légitimité aux plus vieux de diriger ? Lorsque le chef de guerre est choisi en tant que guide la société à cette époque c'est qu'il avait survécu à de nombreuses batailles, car c'était le plus fort et qu'il était protégé par les dieux donc il n'est plus choisi par les hommes, mais par les dieux. On a une des justifications de la monarchie qui est en prémisse de la société spartiate donc 2 modèles qui cohabitent et qui sont fondamentalement au niveau de la gestion de la chose publique en revanche au niveau des relations entre individus ce qu'on appelle maintenant le droit privé on observe des similitudes puisque les sociétés sont divisées en 2 catégories d'individus : les citoyens, les esclaves qui n'ont aucun droit civil (c'est une chose). [...]
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