Empire romain tardif, principat, Julio-Claudiens, Galba, Othon, Vitellius, l'Empereur Commode, Trajan, Hadrien, Maximin le Thrace, Goths, Dèce, Valérien, Sapor, Gallien, Dioclétien, Empire gaulois, Francs, Alamans, Postumus, Aurélien, Empire constantinien, Milan, Licinius, Daïa, Julien Auguste
L'année 27 constitue un moment clé de l'histoire de Rome puisqu'il s'agit de l'année où Octave reçoit du Sénat le titre d'Auguste et un certain nombre de pouvoirs. C'est alors que se met en place le Principat. Malgré les apparences, nous avons affaire à un régime qui change de nature. On assiste à une monarchie sous les habits de la République, et Auguste cherche alors une famille à laquelle transmettre le pouvoir : lui-même n'a en effet qu'une fille.
La première phase des Julio-Claudiens s'illustre par de très nombreuses conquêtes, notamment sous Auguste : l'Égypte, les Alpes, la Mésie, la Norique, la Rhétie, la Pannonie, l'Illyrie... Suite à Auguste, Tibère, Caligula et Claude continuent les conquêtes en Maurétanie, en Bretagne, en Thrace et en Judée.
[...] Constantin convoque alors le concile de Nicée en 325 pour régler la question. Le concile condamne l'arianisme et met en place le dogme de la Trinité, c'est- à-dire qu'il y a un seul Dieu en trois personnes de même substance et éternelles. On voit dès lors que l'Empereur a l'habitude de s'immiscer dans les affaires intérieures de l'Église. Constantin a su ne pas se lancer dans une politique religieuse excessive, et il meurt en 337 quelques jours après s'être fait baptiser. [...]
[...] L'un de ceux-là est Saint-Martin de Tours, né entre 316 et 336 en Pannonie d'un père tribun militaire. Il passe sa jeunesse du côté de Pavie où il développe ses sympathies chrétiennes. Il accompagne son père militaire dans l'armée jusqu'en 356 où il quitte ses obligations pour se mettre sous les ordres de l'évêque de Poitiers, qui est exilé par les Ariens au pouvoir, et Martin le suit jusqu'en Pannonie où il convertit sa mère au christianisme et en Illyricum. [...]
[...] C'est un règne dans lequel les réformes de l'Empire sont très importantes : il a mis en place un mode de fonctionnement original, la tétrarchie est la victoire de Constantin sur Maxence au pont Milvius, ce qui permet à Constantin de rester seul maître en Occident et d'assumer sa conversion au christianisme IX. Dyarchie et tétrarchie - l'organisation du pouvoir impérial. La dyarchie dure de 285 à 293. La fin de l'année 285 est marquée par une situation militaire difficile, car l'Empire a perdu la Mésopotamie ainsi que les Champs Décumates. [...]
[...] Pour la première fois en 40 ans, l'Empire romain est aux mains d'un seul homme. En 326, Constantin revient à Rome pour fêter ses Vicennales, c'est-à-dire ses vingt ans de règne. C'est l'occasion d'un règlement de compte familial sanglant, et pour des raisons assez troubles, il procède à l'élimination de son fils aîné Crispus et de sa seconde épouse, Fausta. En 333, Constantin promeut Constant ainsi que Delmace en 335, c'est-à-dire son troisième fils et son neveu. On a donc dès lors quatre Césars de sa famille et aucun n'est présenté comme supérieur aux autres. [...]
[...] L'Empire romain tardif (235-395) I. Rappel : Le principat de -27 à 235 L'année 27 constitue un moment clé de l'histoire de Rome puisqu'il s'agit de l'année où Octave reçoit du Sénat le titre d'Auguste et un certain nombre de pouvoirs. C'est alors que se met en place le Principat. Malgré les apparences, nous avons affaire à un régime qui change de nature. On assiste à une monarchie sous les habits de la République, et Auguste cherche alors une famille à laquelle transmettre le pouvoir : lui-même n'a en effet qu'une fille. [...]
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