démocratie athénienne, IVe siècle, monde des cités, hégémonie macédonienne, démocratie radicale, Périclès
Cela correspond à l'analyse de ce qu'est la démocratie athénienne au IVe siècle telle que les historiens aujourd'hui la comprennent. Les historiens ne sont pas neutres, ils appartiennent à leur époque. Aujourd'hui, on a tendance à être plutôt admiratif malgré les insuccès athéniens. Les oligarques du IVe siècle ont refusé de renverser les institutions démocratiques d'Athènes : exemple de Platon aristocrate de grande famille, neveu de Critias (un des trente tyrans), Platon a décidé d'aller se réfugier dans autour d'ivoire, il va se réfugier et réfléchir sur la vie publique. Socrate lui a participé à la vie publique ce n'est pas non plus un démocrate, on a donc une évolution en une génération. Tous les philosophes montrent que la démocratie n'est pas un régime vertueux. Les démocrates ont décidé que la démocratie n'est plus seulement une pratique, mais aussi toute une théorie qui devait s'appuyer sur des institutions, une démocratie plus technique avec une grande importance des nomothètes.
[...] Or Philippe II ne peut pas laisser Sparte comme électron libre. Philippe II tient à ces ascendant Héraclide et donc son camp est celui des argiens. A l'automne 338 il met la pression sur sparte en dévastant la Laconie. Les spartiates restent en dehors de l'expédition projetée en Asie mineure. Tous les voisins et ennemie de Sparte lui font des réclamations notamment territorial, à ce moment la Philippe fait juger tous les dispute par le synédrion de Corinthe qui prend des décisions de Corinthe. [...]
[...] L'écho de cette misère doit être considéré comme circonstanciel. Le potentielle économique d'Athènes n'est rien entamé, car le Pirée est toujours debout hors c'est l'emporium de la mer Egée. En 375 les athéniens vont le ménage dans leur monnaie ce qui montre qu'ils ont repris en main leur finance. A Athènes a aucuns moment on a des revendications agraire, il n'y a pas de demande de redistribution de terre ce qui signifie qu'il n'y a pas de crises agraires. Des productions agricoles sont des productions spéculatives comme l'huile d'olive. [...]
[...] Ce dernier est reçu en Thrace par une révolte et agis en profite pour attaquer Megalopolis ; Il semble que les lacédémoniens ont pu mettre cavaliers sur terre. Cette guerre englobe tous les alliée de sparte elle a donc gardé un certains prestiges, les athéniens refusent de suivre cette alliance. Et cette guerre tourne cours lorsqu'Antipatros en octobre 331 reprend Amphipolis au même moment ou Alexandre s'enfonce en orient comme vainqueur. La différence de puissance est nette car les macédoniens sont soit 2 fois plus que les soldats d'agis. [...]
[...] On voit que la démocratie était un atout pour Athènes. En 307 la démocratie est rétablit mais plus jamais Athènes connait le lustre passé. Le monde des cités sous l'hégémonie macédonienne C'est un monde nouveau qui s'ouvre avec Alexandre, les gréco-macédoniens sont le peuple vainqueur le rapport de force est renverser. Il n'y a plus le grand roi, celui qui a pris sa place c'est Alexandre. C'est un chef de de guerre extraordinaire. C'est un homme qui a une résistance physique énorme et c'est un chef d'état et non pas seulement un conquérant. [...]
[...] Le Ive siècle telle qu'on la connu depuis 404 est terminé, Alexandre à les moyens, il n'a plus à s'embarrasser de diplomatie avec les Grecs. La lecture du changement politique n'est pas définitive car Alexandre est encore loin de Grèce. Les cités à la moindre occasion essayent de soulever le joug macédoniens et essaye de renverser le rapport de force. A ce moment-là l'histoire de sparte est très obscure, ils n'entretiennent plus des expéditions en Grèce. [...]
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