commerce, Grèce Antique, constitution de sociétés, vocation commerciale, organisation du crédit, système monétaire, système bancaire, Pégas, Nomos, prêt nautique
Chronologie : Connaissance : à partir de 1500 avant JC.
Intérêt : VI – Ve siècle avant JC.
-Période classique. Sparte et Athènes sont les deux grandes cités-États pendant la période classique.
-Grandeur de la cité athénienne : démocratie.
Les sources :
-Problème :
Absence d'uniformité.
Coutume commerciales des métèques : META OIKEN. Le métèque c'est celui qui n'est pas citoyen athénien. Il est grec, a la même religion, la même culture que les athéniens mais n'est pas de la même cité.
Pas de réflexion doctrinale ou de synthèse juridique (priorité à la philosophie politique : Platon (428-348 avant JC) et Aristote (384-322 avant JC).
[...] Il ne prenait pas de grands risques dans les prêts qu'il consentait. Il assurait également des opérations de change et un fond de roulement puisque 30% des sommes déposés étaient toujours en caisse. Si on connaît ce Pasion c'est parce qu'il a eu des relations d'affaires et des procès. II) Les contrats de prêts et d'assurance : Définition : Le prêt est un contrat par lequel une personne remet à une autre des marchandises ou une somme d'argent, à charge de restitution au terme qu'elles conviennent. [...]
[...] Les grecs ont une vision collective de la cité. Dans ces associations familiales, religieuses c'est vrai que parfois on a des difficultés à discerner l'élément familial de l'élément professionnel. On a un même vocable pour l'association et la société, ce qui ne nous aide pas. Ce vocable c'est Koinon. C'est exactement le même terme selon qu'on est dans une société commerciale ou dans une association. Des éléments de réponse : L'élément qui permet de discerner la simple association de la société c'est la recherche du profit . [...]
[...] Contrat d'assurance (assorti au prêt nautique) : Ce contrat d'assurance suppose que celui qui emprunte de l'argent va devoir donner en garantie du remboursement des biens meubles ou immeubles. Dans la grande logique ces biens meubles ou immeubles ne doivent pas être soumis aux risques maritimes. Les biens doivent représenter en numéraires et en valeur le double de la somme prêtée. Celui qui contracte le prêt ne peut pas donner en garantie les biens meubles et immeubles que ceux déjà en garantie. Postérité : Reprise du prêt nautique à Rome, dans l'empire byzantin et en France. [...]
[...] C'est le roi Crésus grec qui a eu l'idée de fonder un système bimétallique en frappant d'un coté des pièces d'or et de l'autre coté des pièces d'argent. Chaque cité va frapper sa propre monnaie puisque chaque cité est une cité- État. À Athènes on avait choisit la chouette. À Corinthe ils ont choisit Pégase. À Métaponte il ont choisit le Nomos d'argent et l'épi de blé. Chaque cité va avoir sa monnaie de paiement et son étalonnage. Monnaie de paiement : la drachme g en argent) : Obole. Diobole. [...]
[...] Les opérations de banque = le change et le dépôts. Les trapézites (Trapeza = table). Ce sont ceux qui reçoivent les monnaies et font le change. Les trapézites peuvent être des marchands, il n'y a pas de réglementation bancaire à l'époque. Les trapézites peuvent également être des temples. Exemple : sanctuaire d'Olympie considéré comme la Banque du Péloponnèse Mais des sociétés privés peuvent également être des trapézites : Exemple : banque de Pasion (vers 430-370 avant JC). Pasion avait ses bureaux installés dans le port du Pirée (lieu de commerce). [...]
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