Aristocratie de Cumes, régimes tyranniques en Sicile, Syracuse, mercenaires grecs, théores pèlerins
La citoyenneté s'exerce dans une cité. Elle se réalise par des individus libres.
4 champs de la citoyenneté : politique, judiciaire, religieux et militaire.
- Le politique et le judiciaire
Certaines apoikia fondé avec un désir de liberté et souveraineté (Elée suite à la conquête perse).
L'auteur tardif, Justin, dans l'Abrégée de Trogue Pompée : l'oeciste de Tarente, Phalantos, aurait été contraint par une stasis à s'exiler. Il trouve refuse à Brentesion (actuelle Brindisi), c'est-à-dire qu'il a trouvé refuge chez les Iapyges.
Stasis au sein de l'aristocratie de Cumes. Aristodèmos se voit confier par les autres aristocrates (pour s'en débarrasser) une armée pour aller aider la ligue des peuples Latins qui étaient agressés par des Etrusques. Mais Aristodèmos remporte la bataille ! Les autres aristocrates s'exilent chez les Etrusques.
[...] Il expulse les habitants de Catane et change le nom de la cite Katanè en Aitnè. Il devient oeciste ainsi également par ce processus. Fastes organisés alors pour cet évènement. Pindare, poète Béotien, réalise un poème à propos de la victoire de « Hiéron d'Aitnè ». Hiéron recrute le poète tragique Eschyle pour écrire Les Aitnéennes (les femmes d'Aitnè) aujourd'hui perdu, mais dont la première représentation a lieu à Syracuse. 405-367 : Tyran Denis l'Ancien. Il intègre des mercenaires grecs et non grecs (des Ibères, des Celtes de la plaine du Pô ) à la citoyenneté. [...]
[...] Les Illyriens sont affranchis. Les exilés demandent de l'aide à Gélon de Géla. Gélon profite alors de l'occasion pour se faire tyran de Syracuse. Camarine se révolte, mais Gélon réprime et les déplace à Syracuse. En 483, il s'empare de Mégara Hyblaea (et y amène de force à Syracuse les nobles locaux, les Pacheis). Gélon forme ainsi une aristocratie urbaine concentrée dans la capitale avec un réseau de tyran gouverneur. Les autres habitants de Mégara Hyblaea sont vendus comme esclavage pour payer les mercenaires. [...]
[...] Citoyenneté et mobilité La citoyenneté s'exerce dans une cité. Elle se réalise par des individus libres champs de la citoyenneté : politique, judiciaire, religieux et militaire. I. Le politique et la judiciaire Certaines apoikia fondées avec un désir de liberté et souveraineté (Elée suite à la conquête perse). L'auteur tardif, Justin, dans l'Abrégée de Trogue Pompée : l'oeciste de Tarente, Phalantos, aurait été contraint par une stasis à s'exiler. Il trouve refuse à Brentesion (actuelle Brindisi), c'est-à-dire qu'il a trouvé refuge chez les Iapyges. [...]
[...] Agathoclès donne sa fille au roi d'Épire Pyrrhus. II. Les mobilités religieuses : L'annonce de la trêve sacrée. Malkin appelle « théores messagers » les théores des sanctuaires qui vont dans les cités annoncer les trêves sacrées et les évènements religieux. Ceux qui les accueillent dans les cités sont les théorodoques. On a des listes à Epidaure, Delphes En retour, chaque communauté envoie ce que Malkin nomme les « théores pèlerins » pour représenter la cité. Ils apportent avec eux des offrandes : les animaux ainsi embarqués sont dits des « hiera », des « objets sacrés ». [...]
[...] Volonté de jouir de l'héroïsation à leur mort comme tout oeciste. Mais ce n'est pas le seul argument : il y a aussi un facteur de sacralisation du pouvoir : le tyran, par la fondation, reçoit une légitimité, car conforme au monde. Beaucoup de mobilités contraintes : les citoyens de Camarine se déplacent à Corinthe où ils reçoivent une nouvelle citoyenneté. Le successeur d'Hippocratès est Gélon en 491. Gélon était un hipparque d'Hippocratès. Il écarte les deux fils du précédent. [...]
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