César, période triumviral, 48-31, oeuvre césarienne, grande réforme politique et sociale, guerre civile, Antoine, Octave
Dernières phases des guerres civiles mêlées à des guerres de conquête ou reconquête. Période foisonnante avec les premières tentatives d'organiser rationnellement la domination romaine sur son vaste territoire. C'est aussi une violente période où l'on résout les différents politiques sur les champs de bataille. Période charnière où s'élabore le régime du principat.
[...] De plus, crise entre Milon et Claudius. On peut les définir comme 2 agitateurs de bonnes familles ayant organisé des bandes armées qui font la loi à Rome. 20 Janvier 52 : Claudius rencontre la bande de Milon sur la Via Appia et ce dernier blesse Claudius, puis le fait ensuite achever en envoyant ses sicaires mort de Claudius. Le retour de son cadavre à Rome est orchestré par le parti de Crassus. Sa femme Fulvie déchaîne la haine de la populas contre Milon qui est traîné devant les tribunaux. [...]
[...] En plus elle diminue la durée des promagistratures. Les conservateurs, optimatès et boni, se rapprochent de Pompée. Ils le préfèrent car c'est un ancien syllanien et on pense qu'il sera plus respectueux des droits de l'aristocratie. Cependant ni Caton ni Cicéron ne se font d'illusions sur les intentions réelles de Pompée. Alliance pas profonde. COUR MANQUANT Guerre de Modène, confusion des camps Comme le pacifisme à échoué, les libertaires doivent rassembler une armée. Dans les provinces occidentales, les césariens sont à la tête de toutes les armées sauf celle de Gaule cisalpine aux mains de Decimus Brutus. [...]
[...] Il aurait eu environ bénéficiaires. 47, César lotis ses propres vétérans, sur ses terres ou dan ses colonies en Gaule du sud. Mais même casés, les vétérans peuvent reprendre leur service, ce sont les evocati, que l'on retrouve beaucoup pendant les guerres civiles. Il perfectionne l'osmose entre le chef et ses troupes en favorisant le culte de la personnalité présence directe sur les champs de bataille, pas peur de la vie rude, au premier rang, le favori des dieux (vénus), héritier d'Alexandre, une grande considération à l'égard de ses troupes. [...]
[...] Pour qualifier son régime, il y a trois grandes traditions historiographiques : - Un continuateur du pouvoir personnel à la romaine (magistrature exceptionnelle et e système clientèlaire - Il aurait envisagé une monarchie de type hellénistique - Préfigurateur du principat César est pétri des valeurs et de la stratégie de sa caste mais a une conception du pouvoir personnel qui va bien au-delà. Pour les anciens auteurs, il est présenté comme le fondateur du principat, mais c'est une vision rétrospective dû au fait que beaucoup de ses successeurs se sont souvent réclamé de César. Chez les contemporains, il prend différente figures. Préfiguration des états totalitaires pour les historiens de l'entre 2 guerres. Désir d'apaisement Retour de la paix ? [...]
[...] On y retrouve de nombreux gladiateurs, de véritables tueurs à gages. Organisation militaire qui remplace les compitalia (le quartier). Dans chaque quartier, il y avait un culte des Lares compitares, divine protectrice des quartiers. Dès les Gracques ont s'étaient rendu compte qu'on rendait ces cultes pour se rassembler et du coup interdiction de ces jeux en 64 par les consuls qui craignaient que les Catiliniens les utilisent. Cependant, ca a perduré sous d'autre forme comme c'est le cas pour Claudius. [...]
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