Après de multiples conquêtes et afin de surveiller et pacifier les territoires nouvellement acquis, Jules Cesar va ériger des cités proches de ces colons. Mais il découvre à Lyon un site privilégié, des ressources importantes et une position stratégique dans la Gaule.
Le Sénat donnera l'ordre, un an après l'assassinat de César, de fonder sur ce site une cité de droit romain. Et ce fut le légat Lucius Munatius Plancus (en 43 av JC) qui créa la colonie romaine sous le nom de Colonia Copia Lugdunum. Ce fut le général Agrippa, gendre et ministre d'Auguste qui fit de Lugdunum la capitale de la province de Gaule lyonnaise et le siège du pouvoir impérial pour les trois provinces gauloises. Elle acquiert alors son titre de « capitale des Gaules ».
A la croisée du Rhône et de la Saône, Lugdunum se développe considérablement et très rapidement. Comme on peut le voir dans la Maquette du musée gallo-romain de Fourvière, ou y apparait le théâtre et l'odéon, le temple de Cybèle et des thermes.
[...] On y apprend ces divers titres et son rôle de fondateur de bain dans la cité de lugdunum. Nous apprenons également dans les inscriptions -ILS 7024 sur sextus Ligurius Marinus, retrouver dans le quartier Saint Jean ainsi que dans les épigraphies de Marcus Primius Secundianus, Quintus Capitonius Probatus, et M(arcus) Inthatius Vitalis, on y discerne les différents aspects de l'économie de Lyon au travers des différents emploies exercer soit dans le commerce du vin, soit dans l'artisanat occuper par les protagonistes entre 120 et 240. [...]
[...] Ce qui même sans être dit, insinue a la fin des supplices, la mort. L'extrait comporte un grand paragraphe avec un éloge sur un certain Vettius Epagathus, qui très pieux et croyant, va affronter les autorités pour défendre ces frères Etant un avocat très reconnue (d'ailleurs appeler selon l'auteur de paraclet des chrétiens et pensant que son statue et son éloquence pourrai sauver ces chrétiens emprisonnés, Vettius Epagathus va en fait être, selon la lettre de l'auteur, lui même devenir un martyr car étant lui même un chrétien. [...]
[...] Il semblerait que toutes les charges qu'il a occupé lier a ce métier deux fois curatelle de la corporation patron de cette corporation a conduit a cette reconnaissance et au monument qui lui ai attribuer. Dans l'épigraphie de Sextus Ligurius Marinus, il y a également les traces de négociants en vin Et comme il est souligné dans cette même épigraphie son travail s'exerce dans le Canabae, presqu'île comportant de multiples entrepôts, ou les négociants lyonnais on le monopole du commerce du vin. Mais un autre aspect du commerce apparait au travers des épigraphies. On apprend notamment que l'artisanat tient également une place importante. Il existe plusieurs formes d'artisanat. [...]
[...] Centre administratif / politique Au 1er siècle ap JC, Lugdunum devient la capitale des Trois Gaules. Et ce statu va lui accorder une place toute particulière politiquement et administrativement pour l'empire romain. Le gouverneur des Trois Provinces y résidera (tel que Septime Sévère). La ville elle-même est administrée à l'image de Rome, on y compte normalement toute les magistratures présentent chez les romains. Nous disposons notamment de deux questeurs qui étaient chargé des finances. Par ailleurs on retrouve des traces de cette fonction dans l'épigraphie de Sextus Ligurius Marinus ainsi que dans celle de M(arcus) Inthatius Vitalis. [...]
[...] l'un des plus grands du monde romain, et il serait probablement situer sur la colline de Fourvière dans le quartier de Saint-Just. Cette fonction va accorder à la ville une certaine richesse et prospérité qui va se traduire sur son économie. Par ailleurs, deux aspects importants se dégagent des épigraphies 2-ILS 7024, -ILS 7028 à -ILS 7030 et -ILS 7035. On voit apparaitre la notion de commerce et d'artisanat. Lugdunum n'est pas seulement un carrefour terrestre (conduit par les multiples routes construite par Auguste), elle était également un carrefour fluvial qui contrôlait la navigation du Rhône et de la Saône. [...]
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