Sciences humaines et arts, Vies parallèles, Vie de Lycurgue, Plutarque, IIe siècle après J.-C., mode de vie spartiate, Numa Pompilius, biographie comparée, Empire Vespasien, éducation des enfants spartiates, chef de l'agelai, entraînement au combat, éducation morale, apogè
Les Spartiates ont toujours été connus pour leur robustesse et leur efficacité au combat. Ce document est un texte nommé "Vie de Lycurgue" et tiré des "Vies parallèles". Cet ouvrage met en opposition un homme grec célèbre et un homme romain célèbre : Lycurgue est opposé à Numa Pompilius. Le texte à notre disposition nous présente l'éducation des enfants à Spartes. Lycurgue est un législateur de Spartes qui a donné son nom à l'ensemble des législations mises en place à Spartes. Ce texte du IIe siècle après Jésus-Christ. L'auteur de ce texte est Plutarque, un philosophe, penseur, biographe et moraliste grec, qui a vécu entre 46 et 125 après Jésus-Christ. Il vit pendant quelques années à Rome sous l'Empire Vespasien où il enseignera le grec et la philosophie, en même temps qu'il écrit son oeuvre "Vies parallèles".
Plutarque y fait le portrait d'hommes illustres en comparant toujours un homme grec célèbre et un homme romain célèbre tel que César et Alexandre le Grand. Plutarque est considéré comme le maître de la biographie comparée grâce à son oeuvre. Il écrire d'autres oeuvres et biographies qui sont moins connues. Le IIe siècle après Jésus-Christ fait partie de la période impériale qui s'étend sur les trois premiers siècles de notre ère. Le monde grec constituait la part la plus riche démographiquement, culturellement et économiquement de l'Empire romain. Le grec est la seconde langue de l'Empire et culturellement la première.
[...] Il faut donc pour être un bon homoioi avoir autant de force que de réflexion et de respect, tout ceci leur était inculqué sous le regard des vieillards. B. La surveillance Les vieillards gardent un oeil sur les enfants dès leur arrivé à l'apogè et jusqu'à la fin de leur éducation. Ils commencent par les observer pour comprendre leur caractère l.20-22. Ils les surveillent ensuite dans leur entrainement au combat l.33-34. Ils désignaient les irènes et les surveillaient sur les punitions qu'ils donnaient aux autres membres de l'agelai l.67-68. [...]
[...] Un entrainement sans relâche À partir de 7 ans, les enfants étaient tous ensemble pour une éducation collective, ce qui est très rare, Spartes est la seule cité à le faire. Ils vivaient en commun toute l'année en agelai l.17. S'en suivait un entrainement d'abord basé sur l'obéissance et sous la surveillance des vieillards qui jugeait leur caractère l.20-22. Au fur et à mesure que les enfants grandissaient, l'entrainement devenait de plus en plus dur au niveau du combat l.24. À partir de l'âge de 12 ans, l'entrainement se complexifiait encore, mais cette fois-ci beaucoup plus sur ce plan moral l.25-31. Toutes ces étapes de l'éducation collective sont appelé apogè. [...]
[...] Le grec est la seconde langue de l'Empire et culturellement la première. La période impériale fut aussi un temps de développement des échanges économique facilité par la construction d'un important réseau routier qui existe parfois encore. Nous pouvons donc nous demander en quoi ce texte nous montre-t-il que l'éducation des enfants spartiates passe par un entrainement de combat, mais pas que? Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps qu'il y a une éducation qui se fais dès la naissance, puis qu'il y a des mises à l'épreuve et pour finir que les enfants ont une éducation morale. [...]
[...] Ce texte du IIème siècle après Jésus-Christ. L'auteur de ce texte est Plutarque, un philosophe, penseur, biographe et moraliste grec, qui a vécu entre 46 et 125 après Jésus-Christ. Il vit pendant quelques années à Rome sous l'Empire Vespasien où il enseignera le grec et la philosophie, en même temps il écrit son oeuvre Vies parallèles où Plutarque fait le portrait d'hommes illustres en comparant toujours un homme grec célèbre et un homme romain célèbre tels que César et Alexandre le Grand. [...]
[...] Ils devaient faire preuve de beaucoup de ruse car s'ils se faisaient repérer, ils étaient puni l.43-44. Très souvent, les punitions de l'irène étaient faite devant les vieillards et des magistrats qui jugeaient si l'irène n'était pas trop sévère ou au contraire pas assez l.68. On peut donc voir que la ruse est une qualité primordiale afin de pouvoir manger. Ces vols leur permettent d'avoir un avant-goût de la syssition qui est le fait d'apporter sa part au repas en commun quotidien pour les citoyens. [...]
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