Après la prise de Troie, les Troyens sont maltraités à l'exception d'Enée et d'Anténor par respect d'un ancien privilège d'hospitalité et car ils avaient recommandés la paix et la restitution d'Hélène de Troie à l'origine de la guerre. Ils échappent donc au droit de guerre des Grecs.
Anténor pénètre au fond du Golf Adriatique avec une nombreuse compagnie d'Enètes qui avaient été chassés de Paphlagonie et cherchaient à s'établir et trouver un chef.
Enée contraint à la fuite cherche à fonder un empire glorieux : il passe en Macédoine, en Sicile ; de Sicile il part avec sa flotte dans les territoires Laurentes. Ils pillent les territoires ce qui force les rois Latinus et les aborigènes occupant alors le pays à prendre les armes et repousser les envahisseurs (...)
[...] L'armée de Crustumerium vont à leur encontre, mais démoralisée par les deux défaites, elle se fait écraser, et Romulus envoi des colonies en les trois territoires vaincus. La fertilité du sol de Crustumerium fait que de nombreuses âmes vinrent s'y installer. Mais de très nombreuses personnes vinrent aussi s'installer à Rome. La dernière guerre, et la plus difficile, fut déclenchée par les Sabins : Spurius Tarpeius commandait la citadelle de Rome, sa fille vestale se fit corrompre par l'or et accepta de laisser entrer les Sabins dans la citadelle de Rome. Ces derniers la tuèrent. Ils se rendirent maîtres de la citadelle. [...]
[...] Le pouvoir lui restera assuré sans contestation jusqu'à sa majorité. Plus tard, le Lavinium devenu une cité florissante et à la population importante fut délaissée par Ascagne pour être dirigée par sa mère ou belle-mère. IL fondit une autre ville à laquelle fut donné le nom d'Albe-la-Longue en raison de sa position en longueur sur un côteau. Entre la fondation de Lavinium et la déduction de sa colonie d'Albe il se passa trente ans. La puissance des Latin était assurée à telle point que même à la mort d'Enée et au moment ou Lavinium était dirigé par un enfant, ni Etrusques ni aucun peuple voisin ne déclanché les hostilités. [...]
[...] Sa nature divine ne fut pas remise en question à sa mort. On dit qu'après avoir accomplis ces exploits, il rassembla son armée pour la passer en revue, à ce moment, un orage éclata et un épaix nuage de fumée cacha Romulus aux yeux de son armée. Depuis lors, on ne le revit plus. Tous se mirent à acclamer Romulus, dieu né d'un dieu, roi et père de la ville de Rome. [...]
[...] Aidé par Mézence de Caere il déclenche une guerre ou périt Latinus père de Lavinia. Enée reste seul chef des Aborigènes alliés aux Troyens qui se réunissent sous le nom de Latin. Comptant sur l'union de plus en plus étroite des deux peuples et malgré la suprématie que els Etrusques exercaient alors sur l'ensemble de l'Italie des Alpes jusqu'au détroit de Sicile, Enée dispose ses troupes en ligne de combat. Sa victoire lors de cette bataille serait son dernier exploit terrestre. [...]
[...] Le landemain, les romains se rassemblèrent et, impatient, commencèrent à gravir la pente menant à la citadelle. Leur position désaventageuse fit que l'armée prit la fuite. Romulus fit un prière à Jupiter et lui promit de lui établir un temple. Romulus ordonna à son armée de se rassembler et prit la tête de la bataille. Au moment de la charge des deux armées, les Sabines à l'origine de la guerre tiraillées entre l'amour pour leurs parents Sabins et leur fidélité à leurs maris Romains se jetèrent entre les deux armées. [...]
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