Festin de trimalchion petrone satyricon
Le texte que nous allons étudier est un extrait du Satiricon de Pétrone. C'est un ouvrage qui reste très mystérieux. On ne sait pas exactement qui était Pétrone (pétronius arbiter), l'auteur du texte et donc la période d'écriture. Nous ne savons pas ce que veut dire ce titre, comment il faut l'orthographier (avec un i ou un y) et il manque la plus grande partie de l'ouvrage (nous ne possédons qu'un cinquième : le début et la fin).
Des hypothèses ont néanmoins été avancées. Tacite ayant parlé d'un ancien consul nommé pétronuis qui vivait à la cour de Néron dans les années 60, on a supposé qu'il s'agissait de lui. Tacite appelle le proche de Néron : arbiter elegantiarum, l'arbitre des élégances. Cela est une des pistes principales. Par le mot satyricon, l'auteur aurait pu vouloir dire que son ouvrage était un livre d'histoires satyriques, d'autant plus que l'auteur se moque dans le livre de la société dans laquelle évoluent les personnages, mais c'est une hypothèse contestée, car le mot serait apparu bien plus tard. La seconde hypothèse serait que satyricon voudrait dire histoire de voyous de débauchés, car dans plusieurs textes grecs satyros signifie débauché, cette hypothèse s'appuie également sur le contenu du livre, les trois personnages ayant une sexualité débridée qui a assuré la réputation du livre. La détermination du genre pose aussi question : est-ce bien un roman ? Il semblerait que oui. Il serait le premier roman de la littérature occidentale en tout cas le premier qui soit parvenu jusqu'à nous. Dans ce livre est raconté avec dérision les aventures d'encolpe, le narrateur, de son ami ascylte et de son petit ami Giton.
[...] Le narrateur se penche assez peu sur les objets mais il y a quelques références l1 au-dessus de l'âne étaient ajustés deux plats en argent sur le bord desquels étaient gravés le nom de Trimalchion et le poids en métal. Après s'être nettoyé la bouche avec un cure dent d'argent Il portait au petit doigt de la main gauche un grand anneau légèrement doré, et à la dernière phalange du doigt suivant un anneau plus petit celui-ci d'or massif L'anneau légèrement doré est sans doute fait pour imiter les individus de l'ordre équestre qui seuls avait le droit de porter au doigt l'anneau d'or. Il veut être pris pour quelqu'un d'important. [...]
[...] Trimalchion tente de faire des plaisanteries mais Escolpe ne les comprend pas. Conclusion Au-delà du roman, ce document apporte des connaissances sur un milieu peu étudié les affranchis et sur les diners romains. En effet, pour que l'ouvrage soit drôle pour les gens de l'époque, il faut qu'il y ait des ressemblances avec le monde réel qu'ils puissent reconnaitre. [...]
[...] Cela est une des pistes principales. Par le mot satyricon, l'auteur aurait pu vouloir dire que son ouvrage était un livre d'histoires satyriques, d'autant plus que l'auteur se moque dans le livre de la société dans laquelle évoluent les personnages, mais c'est une hypothèse contestée, car le mot serait apparu bien plus tard. La seconde hypothèse serait que satyricon voudrait dire histoire de voyous de débauchés, car dans plusieurs textes grecs satyros signifie débauché, cette hypothèse s'appuie également sur le contenu du livre, les trois personnages ayant une sexualité débridée qui a assuré la réputation du livre. [...]
[...] Le texte que nous allons étudier est un extrait du Satiricon de Pétrone. C'est un ouvrage qui reste très mystérieux. On ne sait pas exactement qui était Pétrone (pétronius arbiter), l'auteur du texte et donc la période d'écriture. Nous ne savons pas ce que veut dire ce titre, comment il faut l'orthographier (avec un i ou un et il manque la plus grande partie de l'ouvrage (nous ne possédons qu'un cinquième : le début et la fin). Des hypothèses ont néanmoins été avancées. [...]
[...] Le banquet est un véritable spectacle. II) Réactions vis-à-vis des évènements et de Trimalchion Le comportement de Trimalchion : un certain ridicule parfois moqué ouvertement Trimalchion se pense ou feint d'être cultivé en en dépit du fait qu'il soit vulgaire. Il ne se rend pas compte qu'il passe parfois pour quelqu'un de ridicule comme lors de son arrivée, où il est moqué par ses invités. aux accents d'une symphonie, parut Trimalchion lui-même, porté par des esclaves qui le déposèrent sur une pile de touts petits coussins. [...]
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