Autochtone, multiculturalisme canadien, Hurons-Wendats, Innus, Mohawks, Algonquiens, ONU Organisation des Nations Unies, droits humains, lois constitutionnelles, identité culturelle, reconnaissance des autochtones, politique, Amnesty international, Canada
L'UNESCO désigne trois usages différents concernant le terme multiculturalisme. D'abord pour un usage démographique dans le sens où plusieurs groupes ethniques coexistent dans une même société. Ensuite pour un usage "politico-programmatique" pour signaler la présence de programmes et d'initiatives politiques mises en place pour gérer cette diversité ethnique.
[...] La question autochtone dans le multiculturalisme canadien L'UNESCO désigne trois usages différents concernant le terme multiculturalisme[1]. D'abord pour un usage démographique dans le sens où plusieurs groupes ethniques coexistent dans une même société. Ensuite pour un usage « politico-programmatique » pour signaler la présence de programmes et d'initiatives politiques mises en place pour gérer cette diversité ethnique. Finalement, l'usage « idéologico-normatif » fait référence à l'action politique visant directement les individus avec une identité culturelle différente de la majorité et à la façon de les intégrer dans la société tout en leur permettant de conserver cette culture autant que possible, sans que cela contrevienne à la législation et aux valeurs communes de la société dans laquelle ils se trouvent. [...]
[...] L'Australie, l'autre référence en matière de multiculturalisme, en a fait encore un peu moins. L'histoire des deux pays quant à la conquête des terres autochtones et aborigènes par les Européens blancs est peu glorieuse et c'est peut-être ce que veulent éviter les gouvernements ; cela constituerait une sorte d'aveu, en bonne et due forme, d'actions que l'on considérerait hautement condamnables s'ils avaient été commis dans l'autre sens. « Multiculturalisme Organisation des Nations unies Pour L'éducation, La Science Et La C&u㠰㡒㡓㤌㤍㨀㨂㩾㪲㪸㭆㭈㭊㭌㭐㮒㮬㯂㯄㰀䀀䀊䀎䀒䁨䁪䁬䁮䁴䂾䃂䃶퇨톺톺톺 뫨퇨骩骋骋骋骉骋驺婩媋媋ᔜ흨災ᘀ䉨歾䌀ቊ愀ቊ洀ై猌ై ̡&j흨災ᘀ䉨歾 ᑊ䌀ቊ唀Ĉ䩡ᔜ흨災ᘀᑨ뉇䌀ቊ愀ቊ洀ై猄ై唃Ĉᔜ흨災ᘀꝨ轅䌀ቊ愀ቊ洀ై猌ై ᔜ흨災ᘀᑨ뉇䌀ቊ愀ቊlture ». [...]
[...] Les autochtones ont, par ailleurs, un statut un peu flou, à part entière, mais flou. Ils ne sont ni considérés comme immigrants, évidemment, mais pas non plus comme un peuple fondateur à l'instar des communautés européennes et anglophones européennes. Bref, ils ont « toujours » été là et sont même environ 1,4 million[2] au Canada actuellement, mais récolte peu de reconnaissance au niveau politique ou social. D'un autre côté, le terme autochtone est utilisé de façon très large, peut- être trop, pour regrouper les Inuits, les Métis ou les Premières Nations, eux-mêmes regroupant des dizaines de communautés et de nations linguistiques différentes ayant chacune un bagage culturel bien à elle. [...]
[...] La reconnaissance des autochtones Elle a été faite depuis longtemps et est même légiféré. Pour autant, leur situation socio-économique fait régulièrement les manchettes et ne semble pas concorder avec les actions que devrait adopter un gouvernement en matière de multiculturalisme, soit de les intégrer autant que possible dans la société. Pour le moment, un très grand nombre de ses individus vivant dans des réserves ne voient même pas certains de leurs droits humains respectés. Cette image est tirée d'un document préparé par Amnesty International sur les droits et la situation des peuples autochtones, particulièrement au Québec et au Canada. [...]
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