PREMIERE PARTIE
1) Dans la répartition de la richesse mondiale, l'Asie orientale occupe une bonne place en effet, d'après le document 1 nous observons que cette partie du globe se tient en effet derrière la puissance européenne et celle des Etats-Unis. En effet on remarque que le PIB par habitant y est supérieur à 15 000 dollars par endroit, et cette partie contient le Japon qui est une puissance appartenant à la Triade. Cependant malgré que cette espace soit au-dessus de l'Amérique du Sud, de l'Afrique et du reste de l'Asie occidentale, nous observons un espace contrasté.
2) La puissance dominante dans l'espace est-asiatique est sans conteste d'après le document 2 l'ensemble portuaire qui y est très important et le trafic de marchandises. Ainsi nous observons que l'ensemble concentre l'ensemble de sa puissance sur les côtes littorales (Corée du Sud, Shanghai, etc...) [...]
DEUXIEME PARTIE
L'Asie orientale, est aujourd'hui une puissance incontestable, de part sa forte population comptant 2 milliards de personnes, de par la présence du Japon, et du fait de nombreuses délocalisation d'entreprises qui s'installent afin d'engranger des bénéfices. Une question se pose alors : Comment se présente l'Asie Orientale, comme hétérogénéité ou aire de puissance en pleine expansion ? Afin de répondre à cette question, nous allons montrer tout d'abord quels ont été les facteurs de la mise en place de cette puissance puis dans un second temps nous verrons comment s'est organisée cette montée en observant 2 grandes puissances face à un espace multipolaire auquel elles appartiennent puis pour terminer nous verrons les limites de la puissance de cet espace en observant de près l'hétérogénéité flagrante entre les différents espaces de cette région du globe.
L'Asie du sud-est n'a pas toujours été la grande puissance florissante qu'elle est aujourd'hui. Pour être l'importance qu'elle est, l'Asie orientale a du subir de grands changements afin de pouvoir s'imposer en tant que rouage dans l'économie mondiale.
Tout commence après la Seconde Guerre mondiale, le bilan est catastrophique et il faut se reconstruire. Pour cela, dès les années 1950, de nombreuses aides américaines sont apportées aux pays d'Asie ravagés, dans le but premier de les empêcher de tomber entre les mains du communisme en ce début de Guerre Froide. Grâce à cette aide et un rôle important joué par l'état, les pays commencent l'importation de matières première et de technologies diverses. (...)
[...] Le Japon lui, a été un apport tout aussi essentiel dans la montée en puissance de l'Asie orientale d'où le fait que son développement se soit opéré dès la fin de la guerre par une aide rapide des Etats-Unis via le plan Marshall. Pour ce faire le Japon a laissé totalement de côté le point de vue militaire et s'est reposé sur le côté industriel en y investissant autant que possible. Ces années de dures labeurs ont fini par consolider les bases de l'industrie japonaise pour se perfectionner de plus en plus afin qu'elle s'oriente vers la très haute technologie pour devenir aujourd'hui l'une des plus grandes puissances du monde (classé 2ème puissance économique) en faisant partie de la Triade. [...]
[...] Ce pays est devenu par la suite le leader mondial de ce domaine. Au fil du temps d'autres pays ont suivi le mouvement pour former alors les 4 dragons composés de Hong Kong, la Taïwan, la Corée du Sud et de Singapour. Pour pouvoir décoller économiquement, ces pays vont beaucoup s'inspirer du modèle japonais sauf que ceux-ci tiennent compte des spécificités nationale et locale, certains sont allés jusqu'à associer agriculture et industrie ; ils ont aussi impliqué une forte scolarisation et des états autoritaires qui ont été très présent de par leurs interventions (sauf pour Singapour). [...]
[...] Un espace donc bouleversé par l'histoire, mais il d'autant plus marqué qu'il est très mal occupé, en effet la plupart de la population a abandonné la campagne pour rejoindre la ville à partir des années 1950 avec une très forte exode rural allant par exemple pour la Chine de 20 millions de chinois par jour, mais le bilan ne s'arrête pas ici puisque l'on constate que la population s'est massé en très grand nombre le long du littoral (700 millions), le long des rivières et des deltas en atteignant parfois jusqu'à 1000 hab/km². Autre exemple beaucoup plus flagrant avec le Japon où ici la densité de la population atteint 7000 hab/km² ! De ce fait on observe le long des côtes de larges structures artificielles comme les fameuses îles flottantes au détriment de travaux à très hauts coups. Et que pouvons-nous dire des très fortes inégalités concernant l'économie ? [...]
[...] Pour être l'importance qu'elle est, l'Asie orientale a du subir de grands changements afin de pouvoir s'imposer en tant que rouage dans l'économie mondiale. Tout commence après la Seconde Guerre mondiale, le bilan est catastrophique et il faut se reconstruire. Pour cela, dès les années 1950, de nombreuses aides américaines sont apportées aux pays d'Asie ravagés, dans le but premier de les empêcher de tomber entre les mains du communisme en ce début de Guerre Froide. Grâce à cette aide et un rôle important joué par l'état, les pays commencent l'importation de matières première et de technologies diverses. [...]
[...] Ainsi nous pouvons voir la domination du Japon en tant que puissance régionale. Singapour aussi est une puissance portuaire située dans le détroit de Malacca mais moindre en comparaison du Japon. Pour attirer les entreprises, les villes indiquées dans le tableau du document 3 doivent avoir des critères très alléchants afin de permettre à ces dernières de pouvoir faire des marges bénéfiques. Pour cela nous analysons les différentes situations des villes affichées, et celles qui proposent un salaire mensuel le plus bas sur la main d'œuvre (ouvriers et ingénieurs) et sur le coût foncier industriel sont situées dans la Malaisie (710 dollars par mois pour un ingénieur pour un ouvrier), la Chine, les Philippines et l'Indonésie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture