Située au coeur du monde arabe, entre l'Afrique et l'Asie, sur la route de la soie et des épices, ce petit pays de 89000 km² est entouré de la mer Rouge et de la mer Morte et crée une charnière entre le monde méditerranéen et l'Orient. La Jordanie a longtemps été habité par des nomades, ce qui le rend riche de vestiges. Cependant xe pays reste mal connu, nous proposons donc une étude de ce pays qui mérite toute notre attention.
La région du Moyen-Orient est une zone de trouble et d'instabilité, qu'en est-il de la Jordanie, tant au niveau politique, économique, social, culturel ? ;
Afin de savoir si son histoire est le reflet de cette zone trop vite assigné comme « monde arabe », nous étudierons tout d'abord la géographie et l'histoire de la Jordanie. Puis, nous présenterons sa politique, son économie, son social et sa culture dans le but de répondre à notre problématique.
[...] Avec l'Irak, la frontière n'est fixée qu'en 1932 C. La Jordanie membre de la Ligue arabe (1945 1960) Le 22 mars 1945, l'Egypte, l'Arabie Saoudite, le Liban, la Syrie, l'Irak, le Yémen et la Jordanie créent au Caire une organisation commune : la Ligue Arabe. Cette association veut affirmer l'union de la Nation arabe et l'indépendance de chacun de ces membres. Au fur et à mesure de leur accession à l'indépendance, les autres Etats du monde arabe adhèrent à cette organisation. [...]
[...] L'embargo dont fait l'objet ce pays et les positions jordaniennes nuisent à l'économie qui subit le boycott des pays voisins. De plus, à l'issue de la guerre Palestiniens qui travaillaient au Koweït sont expulsés, conséquence du soutien d'Arafat à Saddam Hussein. Ils constituent donc une troisième vague de réfugiés dans un pays en proie aux difficultés économiques : Signature d'un traité de paix avec Israël : Déclaration commune de coordination économique et politique avec l'OLP. Le 26 octobre 1994, Israël et la Jordanie ont signé un traité de paix à leur frontière, dans la vallée de l'Ara va, au nord d'Aqaba. [...]
[...] Et fermer le canal, ça voulait dire la guerre. " "Nous sommes prêts à faire la guerre. Le golfe d'Aqaba appartient à nos eaux territoriales. Nous ne permettrons pas au drapeau israélien d'y passer. Les Juifs menacent de faire la guerre. Qu'ils ne se gênent pas, nous y sommes prêts ! Nous ne renoncerons à aucun de nos droits. Ces eaux sont les nôtres. " Nasser mai 1967. Mais au Caire, la fièvre de guerre est devenue irrésistible. [...]
[...] Elle a su conserver tous les charmes de la grande ville de Transjordanie qu'elle fut autrefois. Elle possède en effet l'atmosphère, le cadre, la sonorité et les parfums d'une ville arabe, avec son souk aux allées étroites, ses nombreux escaliers, ses ânes et ses cafés. Tolérance et accueil chaleureux typiquement oriental garantis. A 24 kilomètres d'Amman, Iraq al-Amir est le seul palais hellénique encore debout au Moyen-Orient. Jerash : à moins d'une heure d'Amman par la route, au nord, parmi les magnifiques collines de l'ancienne région de Gilead. [...]
[...] L'agriculture en Jordanie en 2002 : (Cheptel en millions de têtes, bois en millions de m3, autres productions en millions de tonnes) Mines et industries : le ralentissement des privatisations. Les richesses naturelles du pays reposent essentiellement sur les phosphates et la potasse. Le secteur chimique constitue l'une des principales sources de revenus et fait l'objet d'investissements étrangers. La Jordanie possède des gisements de pétrole de peu d'importance et un champ gazier à Richa, utilisé exclusivement pour la production d'électricité. [...]
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