Le réseau urbain ou armature urbaine constitue l'ensemble organisé des villes dans un espace. La répartition des villes correspond au semis urbain ou à la trame urbaine.
Il y a un maillage régulier de villes petites et moyennes, elles sont réparties régulièrement sur l'ensemble du territoire. Certaines régions sont peu ou pas pourvues de centres urbains, les régions de montagne et les régions de la diagonale du vide.
A l'exception de Paris, toutes les grandes villes sont localisées à la périphérie du territoire, dans les régions (...)
[...] Il arrive que l'aire d'influence étendue déborde largement les limites départementales et s'étende sur 2 ou 3 départements. Pour un semis urbain dense, la zone d'attraction étendue est plus limitée car plusieurs villes se partagent ce potentiel. Les zones d'attraction étendue couvrent 2/3 du territoire. Dans les vides intermédiaires, la population a recours à des villes de moindre importance qui constituent des espaces moins fortement polarisés. Paris exerce une attraction sur tout le Bassin parisien et au-delà sur l'ensemble du territoire pour les produits rares ou certains services très spécialisés. [...]
[...] L'objectif est de concentrer sur ces métropoles dites d'équilibre des industries, services et équipements qui auront des effets d'entraînement sur leurs espaces environnants. La politique des villes moyennes Elle concerne les villes de à habitants, elle vise à améliorer l'attractivité de ces villes, essentiellement par des politiques d'embellissement et d'aménagement de leur cadre de vie. L'objectif est de développer des villes à taille humaine sans les difficultés des grandes agglomérations. Les opérations d'urbanisme passent au 2nd rang, relayés par des dispositifs en faveur de la création d'activités industrielles ou tertiaires destinée à favoriser la création d'emplois. [...]
[...] Des liaisons radiales la relient à toutes les grandes villes qu'elle polarise (Tours, Reims, Troyes, Rouen). Le réseau bipolaire : c'est un réseau hiérarchisé autour d'un ensemble bicéphale par 2 métropoles (Bordeaux et Toulouse), les villes intermédiaires sont peu nombreuses et faiblement peuplées. Le réseau polarisé articulé : il concerne le Nord-Pas-de-Calais et l'ensemble lyonnais, il est constitué d'un réseau radial polarisé autour de la métropole (Lille ou Lyon) et d'un réseau articulé dans le reste de l'espace. Le réseau articulé : aucune métropole ne se détachent car les villes présentent des niveaux d'importance assez semblables. [...]
[...] La polarisation du territoire Les limites des zones d'influence sont difficiles à déterminer. Le rayonnement d'une ville est de plus en plus faible à mesure qu'on s'en éloigne et tend même vers zéro là où l'on rejoint l'aire d'influence d'une autre ville. Les zones d'attractions directe concernent tous les types d'agglomérations. Les villes moyennes ou grandes ont des zones d'influence directe étendue (20 à 40 elles couvrent une bonne partie du territoire mais laissent des espaces libres occupés par des centres urbains modestes dont les aires d'influence sont plus limitées. [...]
[...] Le réseau urbain et les aires d'influence des grandes villes Le réseau urbain La répartition des villes Le réseau urbain ou armature urbaine constitue l'ensemble organisé des villes dans un espace. La répartition des villes correspond au semis urbain ou à la trame urbaine. Il y a un maillage régulier de villes petites et moyennes, elles sont réparties régulièrement sur l'ensemble du territoire. Certaines régions sont peu ou pas pourvues de centres urbains, les régions de montagne et les régions de la diagonale du vide. [...]
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