Sciences politiques, Perse Qajar, iran, Irak, dynastie des Palhavi, shah d'Iran, membre fondateur de l'OPEP, Khomeiny
En place depuis 1795, la dynastie Qajar, d'origine turc, dirige une Perse affaiblie, dans un
monde où l'occident domine. La Perse peine à se moderniser et à s'affirmer face à l'influence
britannique au sud et les russes au nord. Un semblant de monarchie constitutionnelle se met en
place. Le pays passe sous domination britannique pendant la guerre, mais suscite une réaction.
Reza Khan, général perse, prend le pouvoir et instaure la dynastie des Palhavi. Après avoir établir
une république, il prendre le titre de shah d'Iran. Reza Shah veut s'inspirer de la Turquie
Kemaliste et moderniser l'Iran. Il renégocie les accords de la Anglo-Persian Oil Company (BP).
L'Iran se modernise (chemin de fer) et s'occidentalise (interdiction du voile, habit à l'occidental).
Lié à l'Iran pour la vente de son pétrole, l'Iran se déclare neutre dans la guerre, mais est envahi
par le Royaume Uni et l'URSS.
[...] Mohamed Reza Shah transforme alors l'Iran en dictature. Le parti communiste Toudeh est combattu, l'armée est épurée. Sur le plan international, l'Iran appartient au pacte de Bagdad et est un membre fondateur de l'OPEP en 1960. Le Shah lance un parti Nouvel Iran, qui défend l'idée d'une «révolution blanche» capable de moderniser et d'occidentaliser le pays. Il interdit les partis politiques et renforce la répression politique. Dans le même temps, il fête les 2500 ans de l'empire Perse en 1967. [...]
[...] Reza Shah veut s'inspirer de la Turquie Kemaliste et moderniser l'Iran. Il renégocie les accords de la Anglo-Persian Oil Company (BP). L'Iran se modernise (chemin de fer) et s'occidentalise (interdiction du voile, habit à l'occidental). Lié à l'Iran pour la vente de son pétrole, l'Iran se déclare neutre dans la guerre, mais est envahi par le Royaume Uni et l'URSS. La situation d'après guerre est très difficile. Les britanniques continuent d'occuper le sud pétrolifère, tandis que l'URSS favorise une révolte en Azerbaïdjan et continue à maintenir des troupes. [...]
[...] Répression de la révolte kurde en 1975. L'Irak de Saddam Hussein Saddam Hussein arrive au pouvoir en 1979, Révolution iranienne, L'Irak craint une révolte des chiites du sud du pays, déclenche la guerre contre la république islamique pour récupérer le Chott-El-Arab. Guerre dure jusqu'en 1988, sans résultats, guerre de tranchée. En 1983, le régime bombarde de gaz chimique des villages kurdes. A l'été 1990, l'Irak cherche à refaire», notamment financièrement, après la guerre Iran-Irak. Invasion du Koweit. Réaction : opération tempète du désert. [...]
[...] On trouve du pétrôle près de Kirkouk, fondation de la IPC, Irak Petroleum Company. Lutte contre les kurdes, naissance d'un nationalisme arable. En 1941, coup d'état anti-britannique, reprimé. Régence de Nouri Saïd. L'Irak d'après guerre : En 1955 Pacte de Bagdad En 1958, création de l'Union arabe d'Irak et de Jordanie. La même année, un coup d'état militaire renverse la monarchie et la régence. L'Irak quitte l'Union arabe d'Irak et de Jordanie et se rapproche de la république arabe unie (Syrie+Egypte). [...]
[...] Le poste de premier ministre est supprimé. Le régime fait face à des difficultés économiques, main mise de la faction de droite sur l'assemblée des experts, gêne les campagnes éléctorales etc. En 1997 néanmoins, Mohammad Khatami connaît une éclatante victoire populaire. Le Front de la Participation est limité par l'action de l'assemblée des experts et le guide. Les protestations étudiantes de 1999 sont réprimés face à un président impuissant. Radicalisation d'une partie de la droite, avec les fondamentalistes (Front Uni, Coalition élargie) qui remportent les élections de 2005 avec Ahmadinedjad, d'origine populaire, Pasdaran, maire de Téhéran. [...]
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