Le mont Kinabalu est une montagne de l'État malaysien de Sabah, sur l'île de Bornéo. Le mont Kinabalu est situé à l'extrême Nord-Est de la chaîne de Crocker, qui s'étend parallèlement à la côte Nord de Bornéo. C'est le plus haut pic de la Malaysia, atteignant 4 175 m, à quelque 56 km à l'Est de Kota Kinabalu. Son sommet est un plateau de granit d'environ 800 m de long. Le nom Kinabalu provient d'un terme local signifiant «lieu sacré des morts», et la montagne a une signification spirituelle pour beaucoup au Sabah. Il fait maintenant partie du parc national de Kinabalu, qui couvre une superficie de 745 km². Le pic fut gravi pour la première fois par Hugh Low en 1851.
Le pourtour de l'île est constitué de plaines alluviales, dans lesquelles s'écoulent des rivières qui se terminent par des deltas (d'Est en Ouest : Kayang, Mahakam, Barito, Kapuas, Rajang).
[...] Etagement de la végétation sur les flancs du mont Kinabalu L'auteur du texte nous décrit la végétation sur le mont Kinabalu sur trois étages successifs : entre 0 et 1800 m d'altitude, entre 1800 m et 3000 m d'altitude, et au-dessus de 3000 m. il réalise une véritable topologie de l'étagement forestier sur le mont Kinabalu. Entre 0 et 1800 m d'altitude : la jungle des basses - terres C'est une formation végétale complètement différente de la foret qui entoure le mont Kinabalu. L'auteur décrit une végétation qui s'est adaptée à des conditions climatiques différentes de celles présentes en plaine. [...]
[...] Le Mont Kinabalu I. Où se trouve le mont Kinabalu ? Grands traits du climat et de la végétation de plaine dans cette île Le mont Kinabalu est une montagne de l'État malaysien de Sabah, sur l'île de Bornéo. Le mont Kinabalu est situé à l'extrême Nord-Est de la chaîne de Crocker, qui s'étend parallèlement à la côte Nord de Bornéo. C'est le plus haut pic de la Malaysia, atteignant à quelque 56 km à l'Est de Kota Kinabalu. Son sommet est un plateau de granit d'environ 800 m de long. [...]
[...] Les espèces se sont donc adaptées à ce milieu climatique. De plus, les précipitations augmentent par ascension orographique, mais le ruissellement est plus important du fait de la pente. C'est pourquoi, il trouve une espèce apparentée aux châtaigniers, des fougères, et quelques conifères. Les arbres sont encore de l'ordre de la dizaine de mètres. La flore s'épanouit également et apparaît différente de celle présente en plaine. L'auteur décrit alors sa découverte des népenthès ainsi que leur façon de se nourrir. [...]
[...] Celles-ci sont définies par les conditions climatiques et édaphiques. Toute la végétation est perlée d'eau et baigne dans un brouillard permanent. On nomme ce type de forêt Nebelwald, du fait de la persistance des nuages sur les flancs de la montagne. Mais les nuages se formant par ascension orographique des masses d'air, puis précipitant sur les versants, influencent l'étagement de la végétation. C'est pourquoi cette foret est une foret de type pluvial. IV. Endémicité des espèces au mont Kinabalu L'auteur nous décrit la montagne comme étant un lieu où les graines de plantes parentes situées à des centaines, voire des milliers de kilomètres se sont disséminées. [...]
[...] Les leptospermum sont toujours présentes et sont associées aux buissons de schima. L'humidité est omniprésente et l'eau est retenue par les mousses qui poussent sur le sol. Cependant une telle couverture de la végétation est étonnante sur un sol granitique. Apparemment, les plantes profitent du moindre interstice rocheux, de la moindre faille, pour se développer. Ainsi, l'auteur rencontre sur les parties les plus hautes de la montagne une quintefeuille à fleurs jaunes et un rhododendron nain. La végétation sur le mont Kinabalu répond à des règles d'étagement strictes. [...]
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