Résumé chapitre par chapitre du livre
Résumé effectué chapitre par chapitre, reprenant les titres et idées principales de l'auteur. Ceci sur un total de 46 pages. Idéal pour étudiant en classe préparatoire. Livre très bien traité. Livre très intéressant pour le programme de deuxième année. Résumé objectif, pas d'idées personnelles, ou de conclusions personnelles.
[...] Les colonisateurs sont-ils responsables de cette xénophobie ? En fait, les nouveaux pouvoirs africains n'ont rien fait pour concrétiser un certain panafricanisme, que pourtant ils défendent tous dans leurs discours. Des frontières aujourd'hui légitimées et solides. Il n'existe nulle part de frontière idéal, théoriquement, toute frontière peut être considérées comme artificielle, générant une discontinuité dans un espace fluide. Même les fleuves et les montagnes sont d'une certaine façon vectrice d'unification plus que de séparation. La réalité d'une frontière se fait avec le temps et son ancrage dans l'histoire, pour séparer deux nations, deux identités. [...]
[...] Les Etats ont donc la possibilité de réagir à temps et les populations de migrer vers les zones excédentaires et de rechercher des revenus de substitution recours : Court termes : réserves, greniers Long termes : modification des techniques de production Dernier recours : migration vers des régions plus propices (camp de réfugiés ) Ainsi les pays de la faim ont appris à répondre à la menace alimentaire. La multiplication des logiques de prédation. La logique de prédation explique la famine actuelle. Les populations sont considérées comme un gibier. [...]
[...] D'où explosion du nombre d'urbains. Le rattrapage urbain. Si l'urbanisation de l'Afrique a été beaucoup plus tardive que celle des autres continents, elle a donc été plus rapide 5%/an en moyenne). La population de l'Afrique a été multiplié par l'urbaine par 11. Le rattrapage urbain n'a prit qu'une génération : taux identique à celui de l'ensemble des PED. En l'espace d'une génération : passage des campagnes vers les villes : 40% de la population est urbaine. au Nord en dessous du Sahara). [...]
[...] Dans les quartiers populaires, il faut aller chercher l'eau, portes les bidons extrèmement lourds, ce qui explique que les pauvres consomment 10 à 20 fois moins d'eau que les riches (10 jour). Au Gabon, acheter de la bière revient moins chère que d'acheter une bouteille d'eau. L'accès à l'eau : enjeu économique ou droit social ? La privatisation croissante de l'eau en Afrique, est un problème de taille. Des engagements maintes fois réaffirmés. Le droit à l'eau. Multitude de réaffirmations du doit des peuples à avoir accès à l'eau potable. [...]
[...] Ils ne les créent pas, mais fige à un moment précis un processus d'appartenance extraordinairement mouvant, mobile, évolutif. Les emboîtements successifs définissent l'individu africain, ils sont le résultat de multiples mobilités, identitaires et spatiales. Les colonisateurs s'appuient sur des tribus, des ethnies afin d'affirmer leurs pouvoirs. Lorsqu'ils ne comprennent pas le fonctionnement du pays, ils créaient des tribus ex nihilo. Des rapports de force bouleversés par les colonisateurs. Les colonisateurs ont privilégiés les sociétés littorales : commerce, traite des esclaves. [...]
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