Les pays en développement recèlent aujourd'hui la moitié des grands ensembles urbains du monde et en 2015 il ne restera que quelques représentants du Nord (NY, Tokyo). Les grandes villes mondiales, celles qui dépassent les 8 M d'habitants, seuil de l'ONU seront du fait de leurs connexions internationales de véritables métropoles.
Plus urbains que de ruraux : « fins des campagnes » ?
Aujourd'hui un habitant du globe sur deux vit en villes. Les flux migratoires intenses qui se sont orientés vers les mégapoles n'ont pas asséchés les campagnes, comme on a vu les villes intermédiaires sont devenues un pole privilégié de fixation.
Quelles places pour les métropoles ?
La métropolisation est un phénomène de ségrégation socio spatiale.
[...] Les métropoles des Suds Jean François Troin I / Introduction Les pays en développement recèlent aujourd'hui la moitié des grands ensembles urbains du monde et en 2015 il ne restera que quelques représentants du Nord Tokyo). Les grandes villes mondiales, celles qui dépassent les 8 M d'habitants, seuil de l'ONU seront du fait de leurs connexions internationales de véritables métropoles. La diversité des Sud Les Sud comprennent : le Maghreb et le Moyen Orient, pays arabes grandes puissance de demain, avec des villes anciennes mais qui explosent quantitativement et spatialement. [...]
[...] L'explosion de l'informel : La survie dans la ville n'est possibles que par le secteur informel, il s'explique par les éléments suivants : facilité d'accès aux différentes professions, fournitures et consommations locales, prédominance d'entreprise à caractère familiale, petite échelle des activités, travail intensif, technologie adaptée aux conditions locales, marché non réglementé. La contribution du secteur informel à l'économie urbaine est très positive lorsqu'elle constitue un tremplin pour les activités formelles (passage d'un atelier clandestin à des usines reconnues, officialisation de réseaux de transport clandestins). Le secteur informel joue un rôle d'intégrateur urbain, en faisant tampon entre les activités de production et de service du secteur officialisé et la non-activité, le chômage. L'industrialisation y est faible mais motrice. [...]
[...] La cité se débarrasse progressivement de son habitat insalubre. Elle semble avoir tout réussi, y compris sa décolonisation, pourtant, elle semble mal vivre la nouvelle direction de Pékin et redoute une auto-cencure des médias en train de s'installer ainsi que des pratiques de corruption mafieux qui nuirait à son image de transparence et de liberté,et à la confiance qui lui accordent ses innombrables clients de par le monde Les villes d'Amérique latine : cités-relais ou pôles d'un nouveau continent C'est un ensemble géographique est vaste et non uniforme. [...]
[...] Le tertiaire, élément structurant des métropoles ? CBD avec la concentration des pouvoirs économiques et financiers, les commerces que l'on rencontre du centre à la périphérie, le transport (la motorisation des populations est faible et les transports en communs sont peu desservis) donc explosions du transport informel Métropole des sud et mondialisation Une pénétration multiforme Le souci des FTN est de délocaliser leurs usines vers des PED où naissent les industries d'exportation qui employait 12 M en 1994 qui entourent Bangkok, Manille ou Shanghai. [...]
[...] La métapole désignant tout ce qui englobe et dépasse la ville. Il existe trois facteurs qui peuvent façonner la ville : facteurs géographiques banaux qui constitue l'assise de la ville, les facteurs historiques, sociaux, culturels, écon, facteurs politiques qui participent au modelage de la ville et à son évolution actuelle. Le fait qu'il y ait peu de logements disponibles dans les villes du sud, crée une très grande obsession du logement ainsi qu'une spéculation tant sur le sol que sur le bâti. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture