Superficie : 10 millions de km_ (20 fois la France).
Population : 1,3 milliards d'habitants (dont 80% de Hans, les 20% restant sont composés de 55 minorités ''hanisées'' : Mandchous, Coréens, Mongoles, Hui, Zang, Tibétains, Khmers, Cantonais...).
Religions : importance du culte des ancêtres, du Taoïsme et du Confucianisme. Le Bouddhisme arrive vers l'an 1000, l'Islam au XIIe siècle et le Christianisme au XVIe, mais tout trois s'implantent faiblement.
Politique : Président : Hu Jintao, Premier Ministre : Wen Jiabao
Fleuves principaux : Huang-He, Yang-Tsé-Kiang et Si-Kiang
Provinces à connaître : Xinjiang, Tibet, Sichuan, Hainan, Guangdong, Fujian, Zhejiang, Shanghaï, Tianjin et Pékin.
Conflits frontaliers : îles Senkakus (contre le Japon), îles Quemoy et Amoy (contre Taiwan), îles Paracels (contre le Viet-Nam), îles Spartleys (contre le Viet-Nam et les Philippines), le glacier du Siachen (contre l'Inde) et le fleuve Amour (contre la Russie).
[...] Enfin, on peut discerner, mais moins nettement, un axe Dalian-Shenyang au Nord-Est. Ainsi, la première étape est atteinte : les activités originellement concentrées dans le Guangdong se sont étalées sur tout le littoral. Reste maintenant à redéployer la croissance vers l'intérieur. L'agriculture chinoise Les réformes structurelles Les communes populaires ont été supprimées, mais la terre reste propriété du village : les paysans n'ont que la jouissance de leurs terres et le système est géré par des comités de village élus. [...]
[...] Face à ce déclin de l'Etat, les paysans se soulèvent pour chasser la dynastie mandchoue incapable de s'imposer face aux occidentaux : révolte des Taiping qui dure 14 ans avant d'être durement écrasée par les Mandchous et les occidentaux. Vers 1870 la dynastie réagit par le ''Yangwu'' = volonté de moderniser la Chine à l'occidentale. (Au même moment, le Japon se lance dans l'ère Meiji). On inaugure des chantiers navals à Shanghaï. C'est le début du capitalisme chinois. Mais les résistances de la cour impériale font échouer le yangwu. Le grignotage de l'empire continue : en 1885 les Français récupèrent le Tonkin. [...]
[...] En 1895 les Japonais arrachent Formose aux Chinois. La volonté de réformer le pays monte chez les jeunes intellectuels. En 1898 ils tentent de réformer l'armée, l'éducation . en 100 jours. L'échec total les conduit à s'exiler au Japon. En 1899, commence la révolte des boxeurs à Pékin : il y a agression de certains religieux occidentaux puis forte répression. Désormais les droits de douane reviennent aux occupants. Vers 1906 la Chine met en place de nouvelles réformes : création de lycées, d'universités, de chambres de commerce . [...]
[...] Huakao Feng prend la tête du pays de 1976 à 1978. III Le temps du réalisme (1978 2007) Deng Xiao Ping est consacré en décembre 1978. Mao a eu raison à 70% et tort à 30% Qu'importe la couleur du chat pourvu qu'il attrape les souris Deng est un pragmatique, il souhaite adapter la Chine à la mondialisation sans pour autant rompre avec le communisme : il met en place le ''socialisme de marché'', mais réprime les étudiants de la place Tian An Men le 4 juin 1989. [...]
[...] Mao veut ''rééduquer'' les Chinois. En 1957 Mao lance son ''grand bond en avant'' ans d'effort pour 100 ans de bonheur). Le but est de rattraper la Grande-Bretagne en 15 ans ! La Chine manque de capitaux, on décide donc de compenser par les bras et on pousse à la natalité. Mao a un idéal autarcique : il divise le pays en ''communes populaires'' qui doivent être indépendantes sur le plan agricole et industriel. Il promet à chaque Chinois son ''bol de fer'' (droit aux vêtements, au logement, au chauffage, à la nourriture et à l'enterrement). [...]
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