Sciences humaines et arts, villes du Mexique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, croissance urbaine, villes mexicaines, Veracruz, Guadalajara
Le contexte mexicain influe sur les dynamiques urbaines. L'État est entre 2 mondes : l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud. Mais concernant les dynamiques urbaines, le Mexique appartient bien davantage aux villes sud-américaines.
Le Mexique est un état officiellement de type fédéral, ce sont les États-Unis du Mexique formés de 31 états + 1 district fédéral : la plupart du temps, les capitales de ces 31 états sont les plus grandes villes de leurs états respectifs.
Le Mexique appartient sur le plan démographique et urbain au monde sud-américain, avec une transition démographique relativement récente. Dans les années 60, le Mexique connaît son plus fort taux d'accroissement naturel. Le Mexique est largement entré dans la 4e phase : l'après-transition démographique.
[...] La diversité est forte. [...]
[...] Les villes du Mexique Le contexte mexicain influe sur les dynamiques urbaines. L'État est entre 2 mondes : l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud. Mais concernant les dynamiques urbaines, le Mexique appartient bien davantage aux villes sud- américaines. Le Mexique est un état officiellement de type fédéral, ce sont les États- Unis du Mexique formés de 31 états + 1 district fédéral : la plupart du temps, les capitales de ces 31 états sont les plus grandes villes de leurs états respectifs. [...]
[...] Puis, au 2e niveau, les agglos de Guadalajara (centre-ouest) millions d'habitants dont les fonctions sont tertiaires (de services, commerciales) mais pas réellement industrielle, elle a commencé à développer cette fonction récemment dans la haute technologie, et de Monterrey, profil industrielle (2e plus grande du Mexique après Mexico) de l'industrie lourde mais qui s'est diversifiée, proche de la frontière étasunienne mais ne compte pas de maquiladoras. Monterrey est considérée comme une des villes les plus sures du Mexique, et une des villes où le PIB est le plus élevé. [...]
[...] A l'instar des autres pays de l'Amérique du Sud, le Mexique a connu une croissance urbaine accélérée en particulier entre 1940 et 1970 : plus de 5%. Les causes sont multiples et assez classiques, d'abord à cause de l'exode rural massif ayant marqué la seconde moitié du XX e siècle au Mexique, et a joué surtout en faveur de Mexico. Cette croissance rapide de Mexico a contribué à poser d'énormes problèmes aux autorités locales et nationales en terme d'aménagements. Cette croissance urbaine ralentit et a davantage concerné d'autres niveaux de la hiérarchie urbaine mexicaine par des villes intermédiaires et des villes moyennes. [...]
[...] Le taux d'urbanisation continue à certains endroits d'être faible, inférieur à 50% comme au Chiapas ou à Oaxaca (à peine 40%). Certains états, comme ceux à la frontière des USA peuvent apparaître comme des états urbanisés alors que leurs populations se regroupent très fortement dans une ou deux seules grandes villes de ces états, le reste du territoire restant extrêmement délaissé voire en quasi désert. II- La trame urbaine au Mexique Trame urbaine : analyse des villes représentées selon leur poids Réseau urbain : analyse de la hiérarchie urbaine selon leur poids démographique, leurs éventuelles dépendances les unes avec les autres et leurs aires d'influence (différent de réseau de villes : décision volontaire effectuée par les municipalités de se mettre en réseau) Semis urbain : analyse de la localisation des villes sans s'intéresser au poids de la ville (même point pour toutes les villes) Elle correspond à une soixantaine d'agglomérations de plus de habitants, soit 55% de la population mexicaine. [...]
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