Aujourd'hui, nous sommes dans un monde où 20% de la population se partagent 80% des richesses. Nous sommes donc face à de nombreuses inégalités. Des organisations internationales essaient d'atténuer ces inégalités et ont pour but, chaque jour, d'aider des millions de personnes. Les pays les plus concernés par cette aide sont les pays du Sud. On les dénombre essentiellement dans le Sud, c'est pour cela qu'on les appelle ainsi, depuis 1960 (...)
[...] Effectivement, cette forte hausse de la population peut se voir sous différents angles. Tout d'abord négatif: une croissance démographique plus forte qu' croissance économique entraîne la famine, selon Malthus. Puis positif : la population est un potentiel d'activités et peut produire la main d'œuvre. Malgré ces divergences d'opinions sur cette croissance démographique, un constat concret est que la plupart des habitants vivent sous le seuil de pauvreté, dans la saleté ce qui véhicule souvent des maladies. Les familles pauvres ne pouvant pas envoyer leurs enfants à l'école, les font travailler dans le secteur primaire. [...]
[...] qui sont les nouveaux pays industrialisés et les Etats Intermédiaires. Face à la forte démographie, les réactions sont aussi différentes. La Chine fait l'infanticide, la politique d'un enfant par femme. En Inde on fait la révolution verte. Chaque pays choisit donc son modèle à suivre, réussissant plus ou moins bien sa conversion dans la concurrence mondiale. Ils possèdent donc quelques caractéristiques communes (par exemple, forte démographie, famine et pauvreté) mais aussi une diversité (notamment à cause de leur modèle choisi). [...]
[...] Les frontières laissées par les colonies (comme en Angola) ne prennent aucunement en considération les tribus. Ce qui explique plusieurs guerres civiles (au Sénégal), des génocides (au Rwanda) et ne fait que montrer l'instabilité du système politique. Pourtant certains pays s'en sortent très bien, comme le cas de l'Inde. L'Inde a connu une véritable révolution verte (mécanisation du secteur primaire, engrais, pesticides) afin de répondre aux besoins de la population. Après avoir suivi un modèle socialiste à la chute de l'U.R.S.S., elle se tourne vers un modèle plus libéral. [...]
[...] Un problème en entraînant un autre. Nous sommes donc dans un cercle vicieux, se traduisant par un I.D.H. faible (faible taux d'alphabétisation, faible P.I.B., faible espérance de vie). Ces problèmes sociologiques, économiques et démographiques ne font pas à eux seuls l'unité des Etats du Sud. En effet, ils ont essayé d'avoir une idéologie à peu près commune après la vague de décolonisation. Ainsi il y a eu une solidarité entre les pays décolonisés et ceux qui ne l'étaient pas (Conférence de Bandung, 1955). [...]
[...] Malgré une volonté d'avoir une économie à peu près commune et des objectifs communs, leurs conférences (comme celle d'Alger pour créer une communauté d'états neutres, une politique de non-alignement) sont plus des symboles que des conférences apportant des mesures concrètes. Malgré le rêve d'un nouvel ordre mondial, ces pays ont du mal à s'imposer sur la scène internationale à cause de l'ombre que leur font les pays occidentaux. Quelles sont les raisons de ce manque de cohésion de ces pays? Que font les organisations mondiales pour améliorer cette situation? [...]
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