Un risque naturel est un sinistre auquel sont exposés les humains. Néfaste le plus souvent, il est d'origine naturelle, c'est-à-dire que cette catastrophe est issue directement de la nature et que l'Homme n'en est pas l'origine.
On peut regrouper les principaux risques naturels avec les quatre éléments ; la terre, le feu, l'eau et le vent.
Les séismes et les volcans ont pour origine les activités de la Terre, dont le déplacement des plaques lithosphériques. Ces plaques sont des morceaux de la partie supérieure de la croûte terrestre, la lithosphère, qui se déplacent sur le magma en fusion et qui, selon qu'elles se rapprochent, ou s'éloignent, forment des montagnes, ou créent des failles créant ainsi des séismes.
De plus ces séismes lorsqu'ils se produisent en mer, sont la cause de tsunamis, comme on a pu le voir au mois de décembre 2004. Un tsunami est une énorme vague qui peut atteindre 30 m de haut et qui lorsqu'elle atteint les côtes fait des dégâts considérables.
Enfin les derniers risques naturels, en rapport avec le vent, sont les cyclones et tempêtes, ils se forment le plus souvent aux latitudes tropicales lorsque la température de surface de l'eau dépasse les 27°C, et la différence entre l'air chaud qui s'évapore en spirales de l'eau et l'air plus froid qui souffle sur la mer a pour conséquence la formation d'un cyclone. Ces conditions sont réunies en plusieurs points précis du globe.
Certaines régions du monde sont donc plus touchées que d'autres par ces risques naturels. Ainsi les régions les plus touchées par les séismes et volcans sont la côte occidentale du continent américain, le long du Pacifique, le bassin oriental de la Méditerranée, et l'Asie orientale. Et comme nous l'avons vu les cyclones prennent naissance aux tropiques, les régions les plus touchées sont donc les Antilles, la côte asiatique d'Inde au Japon, la Nouvelle-Calédonie, le nord de l'Australie et l'espace compris entre l'île Maurice et le Mozambique (...)
[...] L'eau est également très surveillée, car vecteur d'épidémie et lieu important de biodiversité. Les industries n'ont donc pas le droit de rejeter des produits chimiques dans l'eau, les bateaux n'ont pas le droit de vidanger leurs cales et les cales des pétroliers sont soumises à de nombreuses exigences techniques. Les forêts sont aussi réglementées, par exemple les arbres doivent être distancés, les forêts ne doivent pas être homogène etc. Ceci dans le but d'éviter les incendies et de limiter les dégâts causés par les tempêtes. [...]
[...] Les sociétés face aux risques I. Les risques naturels Un risque naturel est un sinistre auquel sont exposés les humains. Néfaste le plus souvent, il est d'origine naturelle, c'est-à-dire que cette catastrophe est issue directement de la nature et que l'Homme n'en est pas l'origine. On peut regrouper les principaux risques naturels avec les quatre éléments ; la terre, le feu, l'eau et le vent. Les séismes et les volcans ont pour origine les activités de la Terre, dont le déplacement des plaques lithosphériques. [...]
[...] Certaines régions du monde sont donc plus touchées que d'autres par ces risques naturels. Ainsi les régions les plus touchées par les séismes et volcans sont la côte occidentale du continent américain, le long du Pacifique, le bassin oriental de la Méditerranée, et l'Asie orientale. Et comme nous l'avons vu les cyclones prennent naissance aux tropiques, les régions les plus touchées sont donc les Antilles, la côte asiatique d'Inde au Japon, la Nouvelle-Calédonie, le nord de l'Australie et l'espace compris entre l'île Maurice et le Mozambique. [...]
[...] Ces catastrophes et risques ont des effets nocifs sur le long terme, il y donc des risques d'accélération du réchauffement de la planète, et avec cela de désertification, de montée du niveau de la mer. Et les pollutions de la mer, de l'air et du sol ont pour effet de diminuer la biodiversité. Cependant des actions sont menées pour rétablir un équilibre, ainsi des chercheurs britanniques ont montré vingt-cinq régions du monde riches de par leur biodiversité et lors du naufrage d'Erika en 1999 qui a souillé les côtes de Bretagne, des bénévoles ont aidé au nettoyage des plages. III. [...]
[...] Et on peut ajouter aux erreurs techniques, les erreurs de nature humaine qui sont à ne pas négliger de par leur ampleur. Ensuite, certains risques, tels le terrorisme biologique, la criminalité internationale, les risques possibles dus aux organismes génétiquement modifiés (OGM) et les maladies sexuellement transmissibles tel le Sida, ne sont que très difficilement contrôlables. Enfin un des risques technologiques les moins effrayants, les accidents de la route, qui sont malgré tout meurtriers, car ils font plusieurs dizaines de milliers de morts par an. [...]
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